Leonidas a écrit: supposons que Mussipont et Francis Marlière soit en faite la même personne ?
Mon cher Léo (excuse-moi de ne pas t'appeler Léonidas, cela fait trop chocolatier Belge - et personnellement je n'aime pas trop, c'est trop gras et trop sucré, sans particulier ceux avec de la liqueur qui sont assez curieux, je préfère le chocolat noir et sec - ou alors un roi Spartiate, mais vous savez ce que je pense de barbus bodybuildés un jupette, c'est éminemment suspect pour moi qui suis hystériquement hétérosexuel, encore que maintenant l'actualité cinématographique me fais faire l'association d'idée entre spartiate et Eva Green, ce qui pour quelqu'un comme moi qui suis, je crois vous l'avoir déjà dit hystériquement hétérosexuel, est beaucoup plus ... en fin bref, fermons cette parenthèse car les digressions risquent de rendre la compréhension de ce magistral exposé un peu moins aisé aux belliludistes terriens qui pullulent sur ce forum et qui, d'après Mussipont, qui ne manque jamais une occasion d'être désagréable, sont généralement tellement sots qu'on pourrait tuer un âne à coup de figues molles avant de leur faire comprendre quelque chose).
Je reprends car une parenthèse folle m'a éloigné du sujet.
Donc, mon cher Léo (je ne vais pas réexpliquer pourquoi je n'utilise pas ton pseudonyme en entier ; cela n'a rien d'une attaque personnelle - je précise car c'est un procédé vil, bas et hélas répandu que de tenter de rabaisser quelqu'un en changeant son nom ; c'est d'ailleurs la raison pour laquelle certaines personnes, comme Mussipont, prennent un pseudonyme absolument ridicule, parfois franchement grotesque, de façon qu'on ne puisse pas les ridiculiser en parodiant leur nom, puisqu'il est déjà ridicule, vous suivez ? donc non, ce n'est pas une vile attaque de ma part, mais simplement une tentative d'échapper à des associations d'idées, tentative vouée à l'échec car je peux facilement ne pas penser aux chocolats belges, trop gras et trop sucrés à mon goût, mais pas à Eva Green, qui elle l'est parfaitement (à mon goût, essayez de suivre sinon on ne va pas s'en sortir vu que j'en suis déjà à une digression à l'intérieur de ma deuxième digression)).
Bon, 3ème tentative, et ne me parlez plus d'Eva Green, sinon je ne vais pas réussir à me concentrer et il va y avoir une troisième digression certes pas désagréable eu égard à la beauté de la personne sus-nommée, finalement plus agréable que le sujet qui nous intéresse (enfin qui vous intéresse car moi je m'en fous, je me contente d'écrire des âneries et de penser à Eva Green, mais ça c'est de votre faute, à cause de ces pseudonymes à la con ; au moins avec Mussipont, dont la charge érotique est absolument nulle car je ne suis ni zoophile ni nécrophile, je ne suis ni troublé ni déconcentré).
Mussipont, donc, voilà le fil conducteur auquel je dois m'accrocher (au sens figuré, n'allez pas vous imaginer des choses, petits scabreux que vous êtes) pour tenter d'oublier - non pas oublier, comment serait-ce possible ?, mais ne pas y penser temporairement - la dame dont il est question ici et dont je ne citerai pas le nom pour ne pas remettre cet sous dans la musique.
Car rien que le nom me fait, fort légitimement au demeurant, de l'effet et m'évade de mon triste quotidien où je suis harcelé en permanence par la petitesse et la mesquinerie mussipontesque du monde moderne. Mais bref, soyons fort, et tentons une 5ème fois de reprendre le fil, que dis-je, de commencer ce brillant exposé.
Donc, mon cher Léo, poussé par je ne sais quelle inspiration diabolique et malfaisante, où alors par des libations excessives consécutives à la défaite de milliardaires trépanés hier soir au parc des Princes (et auquel cas je te pardonne car quelqu'un qui n'aime pas le foutebole ne peut pas être entièrement mauvais), tu as émis l'hypothèse ô combien saugrenue que mon Admirable Personne et l'abominable gnome contrefait qui répond (souvent avec beaucoup de retard mais s'il vous plait, pas de nouvelle digression car les belliludistes terriens qui forment les gros bataillons - c'est logique - de ce forum n'ont pas une boit crânienne assez développée pour suivre les messages trop longs ou trop compliqués) au nom ridiculement grotesque de Mussipont serions une seule et même personne.
Malgré mon inégalable maîtrise de la langue française, que vous avez à diverses occasion eu le plaisir d'admirer avec une jalousie qui ne vous fait pas honneur, je ne trouve pas de mots, Monsieur Léonidas (Caramba, je n'aurais pas du écrire le pseudo, voila que je repense à qui vous savez. Non pas le chocolat et encore moins au roi en jupette, soyez à ce qu'on dit un peu, car sinon il faut reprendre le message depuis le début et avec toutes ces digressions, au demeurant légitimes eu égard à .., bref, essayez de suivre), donc, je ne trouve pas de mots, monsieur Côte d'or (n'y voyez pas d'offense, c'est juste un tour de passe-passe pour ne pas me laisser déconcentrer et ça marche, car la charge érotique devient tout de suite moins insoutenable), donc je ne trouve pas de mots pour qualifier votre ignominie (je précise aux belliludistes terriens, qui, bref ..., que ce mot n'a rien à voir avec la compagne de Mickey).
Comment osez-vous me comparez à cette triste épave, ce consternant bourguignons dégénéré, cet humanoïde tellement insignifiant qu'il joue, les bras m'en tombent et toute l'Estafette s'en gausse, à "Flat Top" ?
Cher Léo (Caramba, encore raté, j'ai écris le mot qu'il ne fallait pas et suis de nouveau déconcentré et donc cette nouvelle digression qui rend ce message si pénible à lire pour les belliludistes terrestres, qui ... bref vous savez), donc pouf pouf on reprend, cher Thémistocle (ça marche aussi bien avec les grecs qu'avec les chocolatiers : charge érotique nulle donc plus de digression), je ne vois, comme je le disais tout à l'heure, que deux raisons à l'agression dont je suis victime : soit votre méchanceté congénitale, auquel cas, je me désintéresse de vous et vous laisse crapauter dans votre fange mussipontesque jusqu'à ce que mort, si possible atroce et fort longue, s'ensuive, soit un excès de boisson, fort légitime compte-tenu des circonstances (non, pas de nouvelle digression sur les foutebaleurs, ces amibes sur pates qui feraient passer un être aussi consternant que Mussipont pour un futur prix nobel), auquel cas, je vous pardonne, vous absous et crie : VIVE LA FRANCE (à condition que vous ne vous soyez pas imbibé le cortex avec des boissons étrangères, et en particluier le whisky, que le Maître, Saint-Pierre (Des Proges, pas de Rome, faut suivre), qualifiait de "Cognac des cons").
Sur ce, en vous remerciant, bonsoir.