2 parties de Wilderness War avec Leto597, à chaque fois le scénario Annus Mirabilis (1757-1759)
1ère partie: je joue les français. Montcalm rejoint rapidement l'avant des troupes françaises à Fort Carillon (futur Fort Ticonderoga) et fond sur les éclaireurs anglais. Galvanisé par cette première victoire, Montcalm conduit le gros des troupes françaises (une variole ayant décimé ses alliés indiens) au contact avec les troupes anglaises toutes surprises de voir ces frog-eaters leur fondre dessus. Ils retraitent vers Albany. Gardant l'impulsion Montcalm installe le siège d'Albany (erreur de l'anglais qui aurait probablement du retraiter et se regrouper plus au sud, car le siège va être fatal pour la majorité de ses troupes. Montcalm ira même jusqu'à New York mais les anglais, en pleine phase de réorganisation redeviennent menaçants.
Les français sont bien décidés à tenir Albany jusqu'à la fin de l'année 1757 (conditions de victoires vérifiées seulement à la fin d'une année et non d'un tour!). Les troupes anglaises remontent l'Hudson pour venir assiéger ou bouter les français hors d'Albany, mais une météo désastreuse va retarder grandement l'avancée des troupes de sa Majesté. Par manque d'autorité (général de niveau 3, pas de carte 3 en main), Leto597 voit le gros de sa force armée bloquée à quelques encablures d'Albany... Il lance un détachement qui essaie de contourner Albany, mais celui-ci est attaqué par un détachement mené par Lévis (ou bien était-ce Montcalm?) et les efforts britanniques sont finalement vains...
Leto597, un peu frustré sur cette fin abrupte (et l'erreur d'avoir rentré ses troupes dans Albany plutôt que de retraiter vers le Sud) après 3/4h-1h de jeu, en redemande.
2ème partie, je joue à nouveau les français: cette fois, je la joue profil bas, essayant de découvrir d'autres possibilités de stratégie pour le français. Très rapidement, les anglais prennent Louisbourg par un audacieux débarquement amphibie. Heureusement, les troupes canadiennes peuvent s'enfuir vers Québec, mais elles sont en piteux état.
Montcalm fait le blocus à Fort Carillon, empêchant un temps l'avancée des britanniques. Quelques tentatives de raids de coureurs des bois et d'indiens se solderont la plupart par des échecs.
Johnson mène une troupe à l'Ouest pour diminuer les raids.
Pendant ce temps une formidable armée britannique remonte le couloir Hudson-lac Champlain. Cependant elle s'aventure un peu loin sans arrière-garde (pas de fort, ni fortin), et Montcalm, ayant rassemblé le reste de ses troupes à Montréal, va bondir sur les anglais avant que ceux-ci ne passent à l'offensive, et les obliger à reculer. Vu qu'ils n'ont pas de fort pour reculer les troupes régulières britanniques fuient et sont dispersées. Gros revers. Cependant, ce combat, quoique héroïque, laissera l'armée française, certes victorieuse, complètement fourbue et exsangue. La chute de Louisbourg empêche en outre tout renfort du vieux continent.
Vaudreuil capitulera fin 1758.
1ère partie: je joue les français. Montcalm rejoint rapidement l'avant des troupes françaises à Fort Carillon (futur Fort Ticonderoga) et fond sur les éclaireurs anglais. Galvanisé par cette première victoire, Montcalm conduit le gros des troupes françaises (une variole ayant décimé ses alliés indiens) au contact avec les troupes anglaises toutes surprises de voir ces frog-eaters leur fondre dessus. Ils retraitent vers Albany. Gardant l'impulsion Montcalm installe le siège d'Albany (erreur de l'anglais qui aurait probablement du retraiter et se regrouper plus au sud, car le siège va être fatal pour la majorité de ses troupes. Montcalm ira même jusqu'à New York mais les anglais, en pleine phase de réorganisation redeviennent menaçants.
Les français sont bien décidés à tenir Albany jusqu'à la fin de l'année 1757 (conditions de victoires vérifiées seulement à la fin d'une année et non d'un tour!). Les troupes anglaises remontent l'Hudson pour venir assiéger ou bouter les français hors d'Albany, mais une météo désastreuse va retarder grandement l'avancée des troupes de sa Majesté. Par manque d'autorité (général de niveau 3, pas de carte 3 en main), Leto597 voit le gros de sa force armée bloquée à quelques encablures d'Albany... Il lance un détachement qui essaie de contourner Albany, mais celui-ci est attaqué par un détachement mené par Lévis (ou bien était-ce Montcalm?) et les efforts britanniques sont finalement vains...
Leto597, un peu frustré sur cette fin abrupte (et l'erreur d'avoir rentré ses troupes dans Albany plutôt que de retraiter vers le Sud) après 3/4h-1h de jeu, en redemande.
2ème partie, je joue à nouveau les français: cette fois, je la joue profil bas, essayant de découvrir d'autres possibilités de stratégie pour le français. Très rapidement, les anglais prennent Louisbourg par un audacieux débarquement amphibie. Heureusement, les troupes canadiennes peuvent s'enfuir vers Québec, mais elles sont en piteux état.
Montcalm fait le blocus à Fort Carillon, empêchant un temps l'avancée des britanniques. Quelques tentatives de raids de coureurs des bois et d'indiens se solderont la plupart par des échecs.
Johnson mène une troupe à l'Ouest pour diminuer les raids.
Pendant ce temps une formidable armée britannique remonte le couloir Hudson-lac Champlain. Cependant elle s'aventure un peu loin sans arrière-garde (pas de fort, ni fortin), et Montcalm, ayant rassemblé le reste de ses troupes à Montréal, va bondir sur les anglais avant que ceux-ci ne passent à l'offensive, et les obliger à reculer. Vu qu'ils n'ont pas de fort pour reculer les troupes régulières britanniques fuient et sont dispersées. Gros revers. Cependant, ce combat, quoique héroïque, laissera l'armée française, certes victorieuse, complètement fourbue et exsangue. La chute de Louisbourg empêche en outre tout renfort du vieux continent.
Vaudreuil capitulera fin 1758.