A la fin du IVe siècle après JC, les Goths subissent une forte pression migratoires des peuples est-européens et asiatiques. Germains d’origine scandinave, ils ont commencé leur migration au début de l’ère chrétienne. Au IVe siècle ap JC, l’empereur Aurélien permet à une partie d’entre eux, les Goths de l’Ouest ou Visigoths, de s’établir au nord du Danube, dans ce qui était autrefois la province de Dacie ; les Goths de l’Est, quant-à eux, demeurent en actuelle Ukraine.
Poussés plus avant par les migrations venant de l’Est, et notamment des lointains Huns, les Visigoths sollicitent le droit de s’établir en territoire romain. L’empereur Valens, suspicieux, et plutôt préoccupé par le front perse, cherche d’abord à s’assurer du désarmement de cette population, pour ensuite s’en servir comme réservoir de combattants. Mais il ne peut obtenir une action efficace de ses subordonnées, qui déclenchent même la révolte des Goths. En conséquence, il quitte l’Orient et vient prendre le commandement des forces romaines dans les Balkans pour écraser rapidement cette menace trop proche de Constantinople.
Si l’Empire d’Occident lui envoie des renforts, Valens n’en a que faire, il veut infliger une défaite définitive aux barbares ravageant désormais la Thrace, avant de devoir partager les fruits d’une victoire qu’il estime facile. L’armée barbare est commandée par d’Alatheus et Saphrax, chefs des tribus Tervinge et Greuthunge ; elle rassemble quelques 10000 fantassins et 5000 guerriers, escortant le long convoi de chariots transportant leurs familles (peut-être 100000 personnes. Face à eux, Valens a réuni environ 15000 soldats, légionnaires (dont 5000 vétérans) et auxiliaires palatins, soutenus par une imposante cavalerie d’archers et de cataphractes.
Le 9 août 378, après 7h de marche, l’armée romaine arrive en vue d’une colline basse où ses éclaireurs repèrent le camp de chariots goths. L’empereur avance sa cavalerie en écran pour permettre à ses fantassins de se déployer en ligne de bataille. Fritigern ne disposant pas de sa cavalerie qui est partie fourrager loin du camp, choisit alors de rassembler les familles au cœur des lignes de chariots et allume des feux dans la plaine pour retarder l’avance romaine. Patient, il envoie même des ambassadeurs pour gagner du temps.
Tour 1 :
Pour Valens, il faut un succès, les Romains gagnent l’initiative et passent à l’attaque.
Cassio déploie l’aile gauche de cavalerie romaine pour contourner les Goths et leur barrière de chariots. L’aile droite progresse elle aussi vers le camp goth. Au centre, l’infanterie romaine essaie de se déployer de manière organisée. Les archers engagent l’infanterie gothe repoussant une unité de lanciers au centre tandis que les Equites Sagitari en repoussent une à gauche. Une unité de légionnaires tire ses plumbatae sans résultat puis attaque des fantassins goths qui résistent.
Les unités gothes se réalignent, elles ont tout intérêt à demeurer sur la défensive. Leur tir inflige des pertes aux Lanciarii.
Tour 2 :
Les Romains conservent l’iitiative.
L’ensemble de la ligne de combat romain parvient au contact tandis que l’aile droite charge Sueridus et la gauche de Cassio continue son mouvement de contournement. Des unités d’auxiliaires remontent vers la gauche pour épauler les cavaliers. Les tirs romains (archers et plumbatae) obligent des unités gothes à reculer libérant des espaces d’attaques. A droite, les Germains tiennent bon face à la charge des cavaliers romains ; la poussée romaine désorganise quelques unités de lanciers mais l’effort est poussif.
Les Goths comblent les espaces vides et lancent des volées de flèches et de javelots. L’aile droite romaine recule, le centre encaisse, tandis qu’à gauche les Equites résistent à la charge de Colias et ses hommes.
Tour 3 :
Les Romains maintiennent la pression sur les Gorths. A gauche le contournement romain est presque parvenu à contourner totalement la ligne gothe ; à droite, les cavaliers lourds de Valens repartent à la charge, au centre les légionnaires et auxiliaires tentent de percer la ligne barbare.
Les archers détruisent une unité de lanciers. Les cavaliers de l’aile droite sont arrêtés par les Germains, une unité de Légionnaires et les auxiliaires bataves parviennent à détruire une unité et un wagon. Les Herculanii réduisent une unité d’archers au contact, à droite les Romains sont en train de prendre pied sur l’élévation occupée par le camp des Goths.
Fritigern résiste, mais il est inquiet, la cavalerie gothe n’est toujours pas en vue.
Le tir barbare est moins efficace. Colias dans une mêlée acharnée réussit à repousser les Equites. Sur le reste de sa ligne, le Goth joue la montre.
Tour 4 :
Les Romains sont en plein effort et conservent l’initiative. Presques toutes leurs unités sont maintenant au contact, la mêlée s’annonce terrible. Le tir romain est peu efficace, mais les glaives vont sûrement faire la différence. Les clibanaires et Armaturae désorganisent les troupes de Sueridus qui doit reculer. Les Bataves soutenus par des Auxiliaires et les Gentiles désorganisent une unité protégeant un chariot ; au centre-droit des légionnaires obtiennent le même résultat. Les Matiarii détruisent des archers et progressent sur la colline. A gauche, Colias recule aussi tandis que la cavalerie de Cassio débouche sur les arrières du dispositif goth, une unité est désorganisée.
Toujours pas de Saphrax à l’horizon, il faut tenir lance Frigidius à ses troupes. Les tirs barbares sont moins efficaces mais font reculer des cavaliers. Sueridus commet l’erreur d’attaquer les clibanaires, il est repoussé avec des pertes. Une unité d’auxiliaires est désorganisée sur l’aile droite barbare, mais le bilan est maigre.
Tour 5 :
Les Romains agissent encore en premier. Les troupes de Valens jouent le tout pour le tout et s’apprêtent à contourner le bois pour tomber sur les arrières goths ; seuls deux unités d’auxiliaires demeurent en couverture. A droite, la charge continue. Les tirs romains obligent les goths de la droite à se replier autour de Colias. Valens lui-même participe à la curée et détruit une unité et un wagon tandis que les Scutari éliminent des lanciers, de même pour les Equites sur l’aile gauche. Les Romains sont sur la route de la victoire à n’en pas douter…
Mais 6 !!!!! C’est au tour des Goths de jouer, et Saphrax apparaît sur les arrières de l’aile gauche romaine avec toute la cavalerie barbare.
Les Goths reprennent alors espoir. Le tir barbare repousse des cavaliers sur gauche, réduit une unité d’auxiliaires sur le centre droit. A droite, les cavaliers légers greuthunges diminuent une unité de Sagitarii, les Huns et Alains repoussent des auxiliaires et cavaliers.
La mêlée est féroce, des lanciers goths détruisent une unité d’auxiliaires, la cavalerie lourde de Saphrax réduit les auxiliaires en couverture.
Tour 6 :
L’entrée de Saphrax donne l’initiative aux Goths qui poursuivent leur charge. Les tirs barbares font reculer des unités romaines mais la charge est un choc foudroyant. Les cavaliers archers romains sont réduits à bien peu, une unité d’auxiliaires est détruite, une unité d’équites connaît le même sort, tandis que les Alains en bousculent une autre. Catastrophe, les Herculanii, qui ne pouvaient reculer sont détruits par les Goths. Enfin à gauche, des Légionnaires sont réduits par Fritigern.
Pour les Romains, bousculés à droite, il faut réagir. Cassio réorganise des auxiliaires et envoie des Euiqtes bloquer l’avancer de la cavalerie lourde gothe. Des archers se redéploient pour couvrir les fantassins romains ; Sébastien vient leur prêter main forte. Au centre les Romains repartent à l’assaut, à droite la cavalerie attaque Sueridus et des auxiliaires sont envoyés pour soutenir l’aile gauche romaine mal en point.
Les cavaliers romains repoussent Suéridus, au centre des légionnaires détruisent une unité gothe et un wagon, une autre unité est diminuée. A gauche les Equites repoussent la cavalerie lourde barbare, soulageant les Auxiliaires mis à mal.
Le score est de 8 unités gothes éliminées et 3 wagons contre 4 romaines.
Tour 7 :
Les Goths ne lâchent plus l’initiative, leur arrivée en trombe semble avoir bouleversé le déroulement de la bataille. 2 unités ‘auxiliaires sont détruites par le tir des Goths. La cavalerie lourde greuthunge se précipite sur les archers romains dont elle désorganise une unité. Mais le péril est plus grands, les deux Sagitarii à cheval sont balayées, et si Cassio et les Equites repoussent momentanément la furie barbare, ils sont sur le point d’être encerclés et annihilés. Sur la gauche barbare, Fritigern souffre encore face aux légionnaires, mais il tient bon.
Les Romains essaient de se réorganiser. Pendant que leur effort est maintenu au centre et à droite sous l’impulsion de Valens, leur gauche cherche à établir une ligne de défense contre la cavalerie adverse ou qui du moins ralentirait le flot violent des cavaliers.
A droite, l’attaque des Scutarii échoue, ils doivent reculer, Suéridus est repoussé, une unité d’archers désorganisée et la voie des chariots du camp ouverte.Au centre, Matiarii et Auxiliaires détruisent deux wagons, progressant sur la colline. A gauche, les Goths résistent aux attaques de Cassio.
Les Romains sont à une unité de la victoire (15-.
Tour 8 :
Heureusement pour eux, les Goths conservent l’initiative. Les troupes de Fritigern et Saphrax se réorganisent pour protéger les chariots et détruire définitivement l’aile gauche romaine. Les archers barbares engendrent des pertes aux Gentiles et font reculer des légionnaires au centre, les Huns et les Alains harcèlent les archers romains et Cassio qui est réduit. Des archers, Cassio sont exterminés sans pitié, les équites encaissent de lourdes pertes.
15-10, les Romains peuvent gagner, il suffit de trouver une proie facile…Un wagon isolé à portée des cavaliers lourds de César…
Le tir romain est …nul, dommage. Les clibanaires anéantissent un chariot à droite et progressent, au centre les légionnaires détruisent un chariot, les Matiarii repoussent Colias à droite donannt de l’air à l’infanterie romaine.
C’est fini, les Romains l’emportent 18-10, victoire majeure, pour une victoire décisive il fallait tuer des chefs goths.
Je pense que la partie était équilibrée, contrairement à l’histoire, les Romains ont pris le temps de correctement se déployer pour organiser leur effort contre le cercle de chariots goths. Les renforts goths arrivent à un bon moment, ils peuvent véritablement agir sur la partie, mais cette fois-ci les pertes initiales infligées par les Romains ont été trop importantes.
Un petit supplément sur une attaque désorganisée des Romains serait intéressant…
Poussés plus avant par les migrations venant de l’Est, et notamment des lointains Huns, les Visigoths sollicitent le droit de s’établir en territoire romain. L’empereur Valens, suspicieux, et plutôt préoccupé par le front perse, cherche d’abord à s’assurer du désarmement de cette population, pour ensuite s’en servir comme réservoir de combattants. Mais il ne peut obtenir une action efficace de ses subordonnées, qui déclenchent même la révolte des Goths. En conséquence, il quitte l’Orient et vient prendre le commandement des forces romaines dans les Balkans pour écraser rapidement cette menace trop proche de Constantinople.
Si l’Empire d’Occident lui envoie des renforts, Valens n’en a que faire, il veut infliger une défaite définitive aux barbares ravageant désormais la Thrace, avant de devoir partager les fruits d’une victoire qu’il estime facile. L’armée barbare est commandée par d’Alatheus et Saphrax, chefs des tribus Tervinge et Greuthunge ; elle rassemble quelques 10000 fantassins et 5000 guerriers, escortant le long convoi de chariots transportant leurs familles (peut-être 100000 personnes. Face à eux, Valens a réuni environ 15000 soldats, légionnaires (dont 5000 vétérans) et auxiliaires palatins, soutenus par une imposante cavalerie d’archers et de cataphractes.
Le 9 août 378, après 7h de marche, l’armée romaine arrive en vue d’une colline basse où ses éclaireurs repèrent le camp de chariots goths. L’empereur avance sa cavalerie en écran pour permettre à ses fantassins de se déployer en ligne de bataille. Fritigern ne disposant pas de sa cavalerie qui est partie fourrager loin du camp, choisit alors de rassembler les familles au cœur des lignes de chariots et allume des feux dans la plaine pour retarder l’avance romaine. Patient, il envoie même des ambassadeurs pour gagner du temps.
Tour 1 :
Pour Valens, il faut un succès, les Romains gagnent l’initiative et passent à l’attaque.
Cassio déploie l’aile gauche de cavalerie romaine pour contourner les Goths et leur barrière de chariots. L’aile droite progresse elle aussi vers le camp goth. Au centre, l’infanterie romaine essaie de se déployer de manière organisée. Les archers engagent l’infanterie gothe repoussant une unité de lanciers au centre tandis que les Equites Sagitari en repoussent une à gauche. Une unité de légionnaires tire ses plumbatae sans résultat puis attaque des fantassins goths qui résistent.
Les unités gothes se réalignent, elles ont tout intérêt à demeurer sur la défensive. Leur tir inflige des pertes aux Lanciarii.
Tour 2 :
Les Romains conservent l’iitiative.
L’ensemble de la ligne de combat romain parvient au contact tandis que l’aile droite charge Sueridus et la gauche de Cassio continue son mouvement de contournement. Des unités d’auxiliaires remontent vers la gauche pour épauler les cavaliers. Les tirs romains (archers et plumbatae) obligent des unités gothes à reculer libérant des espaces d’attaques. A droite, les Germains tiennent bon face à la charge des cavaliers romains ; la poussée romaine désorganise quelques unités de lanciers mais l’effort est poussif.
Les Goths comblent les espaces vides et lancent des volées de flèches et de javelots. L’aile droite romaine recule, le centre encaisse, tandis qu’à gauche les Equites résistent à la charge de Colias et ses hommes.
Tour 3 :
Les Romains maintiennent la pression sur les Gorths. A gauche le contournement romain est presque parvenu à contourner totalement la ligne gothe ; à droite, les cavaliers lourds de Valens repartent à la charge, au centre les légionnaires et auxiliaires tentent de percer la ligne barbare.
Les archers détruisent une unité de lanciers. Les cavaliers de l’aile droite sont arrêtés par les Germains, une unité de Légionnaires et les auxiliaires bataves parviennent à détruire une unité et un wagon. Les Herculanii réduisent une unité d’archers au contact, à droite les Romains sont en train de prendre pied sur l’élévation occupée par le camp des Goths.
Fritigern résiste, mais il est inquiet, la cavalerie gothe n’est toujours pas en vue.
Le tir barbare est moins efficace. Colias dans une mêlée acharnée réussit à repousser les Equites. Sur le reste de sa ligne, le Goth joue la montre.
Tour 4 :
Les Romains sont en plein effort et conservent l’initiative. Presques toutes leurs unités sont maintenant au contact, la mêlée s’annonce terrible. Le tir romain est peu efficace, mais les glaives vont sûrement faire la différence. Les clibanaires et Armaturae désorganisent les troupes de Sueridus qui doit reculer. Les Bataves soutenus par des Auxiliaires et les Gentiles désorganisent une unité protégeant un chariot ; au centre-droit des légionnaires obtiennent le même résultat. Les Matiarii détruisent des archers et progressent sur la colline. A gauche, Colias recule aussi tandis que la cavalerie de Cassio débouche sur les arrières du dispositif goth, une unité est désorganisée.
Toujours pas de Saphrax à l’horizon, il faut tenir lance Frigidius à ses troupes. Les tirs barbares sont moins efficaces mais font reculer des cavaliers. Sueridus commet l’erreur d’attaquer les clibanaires, il est repoussé avec des pertes. Une unité d’auxiliaires est désorganisée sur l’aile droite barbare, mais le bilan est maigre.
Tour 5 :
Les Romains agissent encore en premier. Les troupes de Valens jouent le tout pour le tout et s’apprêtent à contourner le bois pour tomber sur les arrières goths ; seuls deux unités d’auxiliaires demeurent en couverture. A droite, la charge continue. Les tirs romains obligent les goths de la droite à se replier autour de Colias. Valens lui-même participe à la curée et détruit une unité et un wagon tandis que les Scutari éliminent des lanciers, de même pour les Equites sur l’aile gauche. Les Romains sont sur la route de la victoire à n’en pas douter…
Mais 6 !!!!! C’est au tour des Goths de jouer, et Saphrax apparaît sur les arrières de l’aile gauche romaine avec toute la cavalerie barbare.
Les Goths reprennent alors espoir. Le tir barbare repousse des cavaliers sur gauche, réduit une unité d’auxiliaires sur le centre droit. A droite, les cavaliers légers greuthunges diminuent une unité de Sagitarii, les Huns et Alains repoussent des auxiliaires et cavaliers.
La mêlée est féroce, des lanciers goths détruisent une unité d’auxiliaires, la cavalerie lourde de Saphrax réduit les auxiliaires en couverture.
Tour 6 :
L’entrée de Saphrax donne l’initiative aux Goths qui poursuivent leur charge. Les tirs barbares font reculer des unités romaines mais la charge est un choc foudroyant. Les cavaliers archers romains sont réduits à bien peu, une unité d’auxiliaires est détruite, une unité d’équites connaît le même sort, tandis que les Alains en bousculent une autre. Catastrophe, les Herculanii, qui ne pouvaient reculer sont détruits par les Goths. Enfin à gauche, des Légionnaires sont réduits par Fritigern.
Pour les Romains, bousculés à droite, il faut réagir. Cassio réorganise des auxiliaires et envoie des Euiqtes bloquer l’avancer de la cavalerie lourde gothe. Des archers se redéploient pour couvrir les fantassins romains ; Sébastien vient leur prêter main forte. Au centre les Romains repartent à l’assaut, à droite la cavalerie attaque Sueridus et des auxiliaires sont envoyés pour soutenir l’aile gauche romaine mal en point.
Les cavaliers romains repoussent Suéridus, au centre des légionnaires détruisent une unité gothe et un wagon, une autre unité est diminuée. A gauche les Equites repoussent la cavalerie lourde barbare, soulageant les Auxiliaires mis à mal.
Le score est de 8 unités gothes éliminées et 3 wagons contre 4 romaines.
Tour 7 :
Les Goths ne lâchent plus l’initiative, leur arrivée en trombe semble avoir bouleversé le déroulement de la bataille. 2 unités ‘auxiliaires sont détruites par le tir des Goths. La cavalerie lourde greuthunge se précipite sur les archers romains dont elle désorganise une unité. Mais le péril est plus grands, les deux Sagitarii à cheval sont balayées, et si Cassio et les Equites repoussent momentanément la furie barbare, ils sont sur le point d’être encerclés et annihilés. Sur la gauche barbare, Fritigern souffre encore face aux légionnaires, mais il tient bon.
Les Romains essaient de se réorganiser. Pendant que leur effort est maintenu au centre et à droite sous l’impulsion de Valens, leur gauche cherche à établir une ligne de défense contre la cavalerie adverse ou qui du moins ralentirait le flot violent des cavaliers.
A droite, l’attaque des Scutarii échoue, ils doivent reculer, Suéridus est repoussé, une unité d’archers désorganisée et la voie des chariots du camp ouverte.Au centre, Matiarii et Auxiliaires détruisent deux wagons, progressant sur la colline. A gauche, les Goths résistent aux attaques de Cassio.
Les Romains sont à une unité de la victoire (15-.
Tour 8 :
Heureusement pour eux, les Goths conservent l’initiative. Les troupes de Fritigern et Saphrax se réorganisent pour protéger les chariots et détruire définitivement l’aile gauche romaine. Les archers barbares engendrent des pertes aux Gentiles et font reculer des légionnaires au centre, les Huns et les Alains harcèlent les archers romains et Cassio qui est réduit. Des archers, Cassio sont exterminés sans pitié, les équites encaissent de lourdes pertes.
15-10, les Romains peuvent gagner, il suffit de trouver une proie facile…Un wagon isolé à portée des cavaliers lourds de César…
Le tir romain est …nul, dommage. Les clibanaires anéantissent un chariot à droite et progressent, au centre les légionnaires détruisent un chariot, les Matiarii repoussent Colias à droite donannt de l’air à l’infanterie romaine.
C’est fini, les Romains l’emportent 18-10, victoire majeure, pour une victoire décisive il fallait tuer des chefs goths.
Je pense que la partie était équilibrée, contrairement à l’histoire, les Romains ont pris le temps de correctement se déployer pour organiser leur effort contre le cercle de chariots goths. Les renforts goths arrivent à un bon moment, ils peuvent véritablement agir sur la partie, mais cette fois-ci les pertes initiales infligées par les Romains ont été trop importantes.
Un petit supplément sur une attaque désorganisée des Romains serait intéressant…