Les jeux célèbres qui dans l’Antiquité se sont déroulés à Olympie (Olympiakoi Agones) en l'honneur de Zeus ont été restaurés à l’origine et, selon la tradition, pour permettre de résoudre les conflits opposant une Hellas divisée et en guerre. Ils étaient le meilleur exemple de la pensée panhellénique de la paix et de l'unité culturelle de la Grèce antique. Cependant, en 364 av. J.-C, lors de la 104e Olympiade, les Grecs purent assister à une bataille lancée dans le quartier de Zeus, avec des athlètes, des soldats et les spectateurs utilisant leurs armes face à la stupéfaction générale.
Leur histoire débute en Grèce, dans le Péloponnèse, il y a 3000 ans environ quand des concours sportifs sont organisés à Olympie et désignés d’après le nom du site. Il est difficile de savoir à quelle date exactement ils commencent, mais leur première trace écrite date de 776 av. J.-C. Historiquement, les Jeux sont instaurés afin de donner une unité au monde hellénique, alors fragmenté en cité-Etats, constamment en guerre. La mythologie explique ces événements comme la conséquence de l’intervention des dieux. Les Jeux ont lieu tous les quatre ans (une «Olympiade») et servent de système de datation.
Mais depuis leur création, probablement par les Pisates, premiers possesseurs de la vallée de l’Alphée, l’organisation des jeux d’Olympie suscite nombre de convoitises. Après la signature par Iphitos, roi d’Elis, avec Lycurgue d’une convention établissant « une trêve sacrée », c’est la ville d’Elis qui organise la première Olympiade en 776 av JC. Cependant, les Pisates, réclamant l’appartenance d’Olympie au district de Pisatide dirigé par leur ville, Pise, n’ont de cesse de réclamer la présidence des jeux, n’hésitant pas à occuper avec violence l’enceinte sacrée lors de la 8e Olympiade en 748 av JC. Durant la guerre du Péloponnèse, et avec l’intervention spartiate en Elide, le pouvoir d’Elis est affaibli et elle perd les districts de Pisatis et Trifilia où sont organisés les jeux. En réaction, les Eléens interdisent la participation des athlètes spartiates à l’Olympiade de 420 av JC.
Après la guerre, la formation de la Ligue d’Arcadie (370 av JC), sous protection thébaine, confirme le déclin de Sparte, encourageant Elis à retrouver les districts perdus suite à la paix de Nicias (421 av JC). Mais Trifilia a intégré la Ligue, Elis choisit donc de s’allier à Sparte et commence une guerre pour le contrôle de la région. En 365 av JC, les Eléens s’emparent de Lasion, mais sont battus par l’intervention rapide de l’armée arcadienne qui en profite pour occuper Olympie, fortifier le Mont Cronéon à l’aide d’une palissade, et laisser une forte garnison sur le Mont Olympe. Puis les Arcadiens font le siège d’Elis, mais ils renoncent face à la défense acharnée des Eléens. Cependant, ce dernier échec encourage le parti démocrate éléen et ses chefs Caropos, Trasonidas et Argeo à prendre le pouvoir, soutenus par les vainqueurs arcadiens. Mais ces « quatre cent » sont rapidement expulsés par les oligarques Escalta, Hipias, Estratolas et leurs partisans (les « trois cent »), et se réfugient à Pylos, ville sous influence arcadienne. Le parti oligarchique obtient alors le soutien des Achéens pour s’opposer à l’invasion arcadienne qui a repris, mais la perte d’Oluro l’oblige à réclamer aussi l’aide de Sparte. Sparte envahit alors l’Arcadie, s’empare de Pylos et massacre les démocrates éléens laissant désormais seuls au pouvoir les Trois cent.
Alors que la date des prochains jeux approche, Olympie est toujours occupée par les Arcadiens. Ces derniers ont renforcé leur garnison et se déclarent prêts à organiser la 104e Olympiade aux côtés des Pisates. Bien qu’ils n’aient pas été invités, les Eléens se dirigent avec leurs athlètes, leur armée et leurs alliés achéens vers Olympie. Dans le sanctuaire, la tension est grande, les esprits s’échauffent un peu plus à chaque épreuve, tandis qu’une foule nombreuse parcourt les rues d’Olympie. Les accusations fusent dans la foule, chuchotées ou criées, les hommes cherchent toutes les excuses possibles pour en venir aux mains, il ne faudrait qu’un incident mineur pour déclencher l’affrontement. La première discipline, la course de chevaux, voit la victoire des Arcadiens. Puis, ils sont de nouveau victorieux à la course à pied. La prochaine discipline est la lutte…Le tumulte grandit, et il ne faut pas attendre longtemps pour que beaucoup de spectateurs mettent la main à l’épée…
Tour 1 :
Alors que la foule contemple les athlètes luttant et profite de l’ambiance festive des jeux, les athlètes luttant sont le prétexte aux premiers combats entre Eléens et Arcadiens.
Les partisans de chaque camp s’emparent d’armes cachées, se sautent à la gorge et se tuent dans l’excitation du pugilat. Ici des Eléens prennent le dessus, là des Pisates ou Arcadiens. La plupart sont allés chercher des armes cachées, d’autres profitent du mouvement de foule.
Au Leonidaion et au Stadium, une foule de Pisates s’est imposée, mais dans l’ère centrale des cérémonies, les Eléens ont massacré leurs adversaires.
Les Eléens ont l’initiative, ils ont stationné leurs troupes de l’autre côté de la rivière Kladeos et avancent vers le site sacré pour l’occuper.
La foule d’Eléens avance à la recherche de civils pisates…ou autres à massacrer.
Pour les Arcadiens il faut réagir rapidement, organiser la fuite des civils et s’opposer à l’armée adverse. Leur garnison et les troupes de renfort interviennent de suite.
Au sud se met en place une première ligne de combat,
au centre, les hoplites argiens neutralisent les premiers excités,
au nord, les Pisates cherchent parmi la foule d’éventuels éléens.
Ces troupes au contact des civils révèlent très vite (pions Test) qui est qui, désormais, on se bat partout dans Olympie.
Tour 2 :
Avec 6, les Eléens ont l’initiative. Leur armée progresse rapidement vers le site sacré.
Près du stadium, les partisans des Eléens repoussent les Pisates et Arcadiens, malgré les troupes sur leur flanc.
Au milieu de l’ère des cérémonies, les Stratège arcadien (dont l’histoire ne nous a pas laissé le nom est confronté à des Eléens qui ont récupéré leurs armes cachées et se battent comme des hoplites. Les Arcadiens subissent des tirs de javelots, pierres, flèches qui les désorganisent et les font reculer.
C’est au tour des Arcadiens et Pisates. Les civils fuient, il faut les diriger rapidement hors du sanctuaire.
Près du stadium les partisans éléens résistent aux combattants et partisans arcadiens. Au centre du site, une véritable bataille rangée a lieu. Des pertes pour les Eléens qui tiennent bon. Une foule en arme dispersée par les Arcadiens.
Au sud, les soldats arcadiens se rassemblent.
Tour 3 :
Les choses sérieuses commencent.
Les Eléens ont l’initiative.
Au sud, le Léonidaion est investi par les Eléens et leurs alliés achéens. Au nord, les derniers excités en armes pisates sont écrasés par les soldats de Stratolos.
Pour les Arcadiens, il faut faire refluer les civils, les cavaliers s’en occupent, et songer à s’organiser face à l’offensive ennemie. La Stoa d’Hestia et le temple de Zeus emblèmes des JO sont occupés. Au cœur du site, les Eléens résistent avec fougue, c’est un problème.
Tour 4 :
Les Eléens attaquent avec violence. Les psiloï éléens par un feu précis (deux 6 d’affilé !!!) bousculent els Argiens qui perdent pied. Arcadiens et Achéens se disputent le Temple de Zeus. Ceux qui avaient été traités de couards suite aux défaites passées ont désormais une revanche à prendre qui décuple leur énergie.
Pour les Arcadiens, il faut repousser les intrus. Ils se débarrassent enfin des Eléens de la place des cérémonies et chassent les Achéens qui s’étaient introduits dans le temple de Zeus. En revanche la cavalerie athénienne est repoussée par l’ennemi.
Leur histoire débute en Grèce, dans le Péloponnèse, il y a 3000 ans environ quand des concours sportifs sont organisés à Olympie et désignés d’après le nom du site. Il est difficile de savoir à quelle date exactement ils commencent, mais leur première trace écrite date de 776 av. J.-C. Historiquement, les Jeux sont instaurés afin de donner une unité au monde hellénique, alors fragmenté en cité-Etats, constamment en guerre. La mythologie explique ces événements comme la conséquence de l’intervention des dieux. Les Jeux ont lieu tous les quatre ans (une «Olympiade») et servent de système de datation.
Mais depuis leur création, probablement par les Pisates, premiers possesseurs de la vallée de l’Alphée, l’organisation des jeux d’Olympie suscite nombre de convoitises. Après la signature par Iphitos, roi d’Elis, avec Lycurgue d’une convention établissant « une trêve sacrée », c’est la ville d’Elis qui organise la première Olympiade en 776 av JC. Cependant, les Pisates, réclamant l’appartenance d’Olympie au district de Pisatide dirigé par leur ville, Pise, n’ont de cesse de réclamer la présidence des jeux, n’hésitant pas à occuper avec violence l’enceinte sacrée lors de la 8e Olympiade en 748 av JC. Durant la guerre du Péloponnèse, et avec l’intervention spartiate en Elide, le pouvoir d’Elis est affaibli et elle perd les districts de Pisatis et Trifilia où sont organisés les jeux. En réaction, les Eléens interdisent la participation des athlètes spartiates à l’Olympiade de 420 av JC.
Après la guerre, la formation de la Ligue d’Arcadie (370 av JC), sous protection thébaine, confirme le déclin de Sparte, encourageant Elis à retrouver les districts perdus suite à la paix de Nicias (421 av JC). Mais Trifilia a intégré la Ligue, Elis choisit donc de s’allier à Sparte et commence une guerre pour le contrôle de la région. En 365 av JC, les Eléens s’emparent de Lasion, mais sont battus par l’intervention rapide de l’armée arcadienne qui en profite pour occuper Olympie, fortifier le Mont Cronéon à l’aide d’une palissade, et laisser une forte garnison sur le Mont Olympe. Puis les Arcadiens font le siège d’Elis, mais ils renoncent face à la défense acharnée des Eléens. Cependant, ce dernier échec encourage le parti démocrate éléen et ses chefs Caropos, Trasonidas et Argeo à prendre le pouvoir, soutenus par les vainqueurs arcadiens. Mais ces « quatre cent » sont rapidement expulsés par les oligarques Escalta, Hipias, Estratolas et leurs partisans (les « trois cent »), et se réfugient à Pylos, ville sous influence arcadienne. Le parti oligarchique obtient alors le soutien des Achéens pour s’opposer à l’invasion arcadienne qui a repris, mais la perte d’Oluro l’oblige à réclamer aussi l’aide de Sparte. Sparte envahit alors l’Arcadie, s’empare de Pylos et massacre les démocrates éléens laissant désormais seuls au pouvoir les Trois cent.
Alors que la date des prochains jeux approche, Olympie est toujours occupée par les Arcadiens. Ces derniers ont renforcé leur garnison et se déclarent prêts à organiser la 104e Olympiade aux côtés des Pisates. Bien qu’ils n’aient pas été invités, les Eléens se dirigent avec leurs athlètes, leur armée et leurs alliés achéens vers Olympie. Dans le sanctuaire, la tension est grande, les esprits s’échauffent un peu plus à chaque épreuve, tandis qu’une foule nombreuse parcourt les rues d’Olympie. Les accusations fusent dans la foule, chuchotées ou criées, les hommes cherchent toutes les excuses possibles pour en venir aux mains, il ne faudrait qu’un incident mineur pour déclencher l’affrontement. La première discipline, la course de chevaux, voit la victoire des Arcadiens. Puis, ils sont de nouveau victorieux à la course à pied. La prochaine discipline est la lutte…Le tumulte grandit, et il ne faut pas attendre longtemps pour que beaucoup de spectateurs mettent la main à l’épée…
Tour 1 :
Alors que la foule contemple les athlètes luttant et profite de l’ambiance festive des jeux, les athlètes luttant sont le prétexte aux premiers combats entre Eléens et Arcadiens.
Les partisans de chaque camp s’emparent d’armes cachées, se sautent à la gorge et se tuent dans l’excitation du pugilat. Ici des Eléens prennent le dessus, là des Pisates ou Arcadiens. La plupart sont allés chercher des armes cachées, d’autres profitent du mouvement de foule.
Au Leonidaion et au Stadium, une foule de Pisates s’est imposée, mais dans l’ère centrale des cérémonies, les Eléens ont massacré leurs adversaires.
Les Eléens ont l’initiative, ils ont stationné leurs troupes de l’autre côté de la rivière Kladeos et avancent vers le site sacré pour l’occuper.
La foule d’Eléens avance à la recherche de civils pisates…ou autres à massacrer.
Pour les Arcadiens il faut réagir rapidement, organiser la fuite des civils et s’opposer à l’armée adverse. Leur garnison et les troupes de renfort interviennent de suite.
Au sud se met en place une première ligne de combat,
au centre, les hoplites argiens neutralisent les premiers excités,
au nord, les Pisates cherchent parmi la foule d’éventuels éléens.
Ces troupes au contact des civils révèlent très vite (pions Test) qui est qui, désormais, on se bat partout dans Olympie.
Tour 2 :
Avec 6, les Eléens ont l’initiative. Leur armée progresse rapidement vers le site sacré.
Près du stadium, les partisans des Eléens repoussent les Pisates et Arcadiens, malgré les troupes sur leur flanc.
Au milieu de l’ère des cérémonies, les Stratège arcadien (dont l’histoire ne nous a pas laissé le nom est confronté à des Eléens qui ont récupéré leurs armes cachées et se battent comme des hoplites. Les Arcadiens subissent des tirs de javelots, pierres, flèches qui les désorganisent et les font reculer.
C’est au tour des Arcadiens et Pisates. Les civils fuient, il faut les diriger rapidement hors du sanctuaire.
Près du stadium les partisans éléens résistent aux combattants et partisans arcadiens. Au centre du site, une véritable bataille rangée a lieu. Des pertes pour les Eléens qui tiennent bon. Une foule en arme dispersée par les Arcadiens.
Au sud, les soldats arcadiens se rassemblent.
Tour 3 :
Les choses sérieuses commencent.
Les Eléens ont l’initiative.
Au sud, le Léonidaion est investi par les Eléens et leurs alliés achéens. Au nord, les derniers excités en armes pisates sont écrasés par les soldats de Stratolos.
Pour les Arcadiens, il faut faire refluer les civils, les cavaliers s’en occupent, et songer à s’organiser face à l’offensive ennemie. La Stoa d’Hestia et le temple de Zeus emblèmes des JO sont occupés. Au cœur du site, les Eléens résistent avec fougue, c’est un problème.
Tour 4 :
Les Eléens attaquent avec violence. Les psiloï éléens par un feu précis (deux 6 d’affilé !!!) bousculent els Argiens qui perdent pied. Arcadiens et Achéens se disputent le Temple de Zeus. Ceux qui avaient été traités de couards suite aux défaites passées ont désormais une revanche à prendre qui décuple leur énergie.
Pour les Arcadiens, il faut repousser les intrus. Ils se débarrassent enfin des Eléens de la place des cérémonies et chassent les Achéens qui s’étaient introduits dans le temple de Zeus. En revanche la cavalerie athénienne est repoussée par l’ennemi.