Alors que les Suisses et leurs alliés tentent de remettre sur pied une armée correcte à l'abri dans les Alpes, Charles divise son énorme armée pour limiter les effets de la "surpopulation".
De Blamont avec 7 000 fantassins et 2 000 chevaliers est sur sa droite à Montbéliard pendant que le reste de l'armée Bourguignonne est à l'ouest de Mulhouse.
Bubenberg, qui a prit le commandement en chef envoie Richard de Lorraine contre de Blamont, isolé du reste de l'armée. Avec 14 000 hommes dont 2 000 chevaliers et 12 000 piquiers il doit manoeuvrer rapidement pour battre l'aile droite Bourguignonne.
Dans le même temps, Bubenberg conduit 28 000 suisses contre les forces de Jean de Savoie qui ne peut compter que sur les faibles murs de Granson et sur 13 000 hommes.
La Bataille de Montbéliard.
Observant l'énorme armée ccoalisée, de Blamont decide d'abandonner son aile gauche. Il place sa precieuse cavalerie à droite derrière un fossé. Les archers sont en arrière, maintenus en réserve. L'artillerie est massée au centre.
En face, Charles de Lorraine déploie l'essentiel de ses piquiers et hallebardiers au centre. 2 000 piquiers et 2 000 chevaliers sont à gauche et 2 000 piquiers suisses sont à droite et doivent tourner la gauche de l'ennemi, en l'air.
D'autre part, Richard fait placer ses piquiers derrière des palissades.
Rapidement l'artillerie inflige de terribles pertes dans les rangs serrés des piquiers. Même la charge de la chevalerie lorraine perd de sa superbe en arrivant face à un fossé. L'attaque est un échec sur toute la ligne, même si le centre bourguignon souffre.
Mais alors que les piquiers suisses parachèvent leur manoeuvre sur le flanc gauche bourguignon, ils sont pris sous un tir très dense des archers alors maintenus en réserve.
Ayant sauvegardé son flanc gauche, De Blamont lance une charge de chevaliers sur la gauche coalisée, en l'air après la retraite précipitée de sa cavalerie. Il l'appuie d'un feu intense d'artillerie.
Richard doit fuir précipitamment avec les débris de son armée. Il a subit 8 000 pertes dans une bataille pourtant à son avantage.
Les alliés suisses commencent alors du bien fondé de leur entreprise...
Mais ailleurs tout ne se passe pas comme prévu pour Charles.
En effet, au siège de Granson, les 28 000 suisses de Bubenberg annihilent la garnison de 13 000 hommes de Jean de Savoie qui est capturé et exécuté.
Les Suisses déplorent 7 000 tués et blessés pendant cet affrontement aux proportions épiques.
Bourgogne : 14 points
Suisse : 3 points (c'était un siège contre une ville de fort niv 1 donc uniquement les 3 points de Granson)
Enfin, se sentant menacé, le Royaume de France dépêche 1 500 soldats et chevaliers pour se battre aux côtés des Suisses.
De Blamont avec 7 000 fantassins et 2 000 chevaliers est sur sa droite à Montbéliard pendant que le reste de l'armée Bourguignonne est à l'ouest de Mulhouse.
Bubenberg, qui a prit le commandement en chef envoie Richard de Lorraine contre de Blamont, isolé du reste de l'armée. Avec 14 000 hommes dont 2 000 chevaliers et 12 000 piquiers il doit manoeuvrer rapidement pour battre l'aile droite Bourguignonne.
Dans le même temps, Bubenberg conduit 28 000 suisses contre les forces de Jean de Savoie qui ne peut compter que sur les faibles murs de Granson et sur 13 000 hommes.
La Bataille de Montbéliard.
Observant l'énorme armée ccoalisée, de Blamont decide d'abandonner son aile gauche. Il place sa precieuse cavalerie à droite derrière un fossé. Les archers sont en arrière, maintenus en réserve. L'artillerie est massée au centre.
En face, Charles de Lorraine déploie l'essentiel de ses piquiers et hallebardiers au centre. 2 000 piquiers et 2 000 chevaliers sont à gauche et 2 000 piquiers suisses sont à droite et doivent tourner la gauche de l'ennemi, en l'air.
D'autre part, Richard fait placer ses piquiers derrière des palissades.
Rapidement l'artillerie inflige de terribles pertes dans les rangs serrés des piquiers. Même la charge de la chevalerie lorraine perd de sa superbe en arrivant face à un fossé. L'attaque est un échec sur toute la ligne, même si le centre bourguignon souffre.
Mais alors que les piquiers suisses parachèvent leur manoeuvre sur le flanc gauche bourguignon, ils sont pris sous un tir très dense des archers alors maintenus en réserve.
Ayant sauvegardé son flanc gauche, De Blamont lance une charge de chevaliers sur la gauche coalisée, en l'air après la retraite précipitée de sa cavalerie. Il l'appuie d'un feu intense d'artillerie.
Richard doit fuir précipitamment avec les débris de son armée. Il a subit 8 000 pertes dans une bataille pourtant à son avantage.
Les alliés suisses commencent alors du bien fondé de leur entreprise...
Mais ailleurs tout ne se passe pas comme prévu pour Charles.
En effet, au siège de Granson, les 28 000 suisses de Bubenberg annihilent la garnison de 13 000 hommes de Jean de Savoie qui est capturé et exécuté.
Les Suisses déplorent 7 000 tués et blessés pendant cet affrontement aux proportions épiques.
Bourgogne : 14 points
Suisse : 3 points (c'était un siège contre une ville de fort niv 1 donc uniquement les 3 points de Granson)
Enfin, se sentant menacé, le Royaume de France dépêche 1 500 soldats et chevaliers pour se battre aux côtés des Suisses.