J'avais dit que j'en parlerai. Acheté depuis longtemps, je viens de le commencer. C'est le seul Barberao que je n'avais pas encore lu.
Le livre s'ouvre sur la rencontre de Charlemagne avec le pape Léon III à Paderborn et la naissance du projet de couronnement impérial. Il revient ensuite sur un schéma chronologique.
L'intro se termine par une citation d'un poète anonyme du VIIIe siècle qui qualifie Charlemagne de "rex pater Europae".
Barbero traduit par la notion contemporaine de "Père de l'Europe", oubliant à mon avis un des trois termes : rex
Pour le poète, il s'agissait d'un Roi père de l'Europe, mais bon, la raoyauté semble avoir perdu de son prestige pour vendre l'Europe
Sinon le premier chapitre relate rapidement l'histoire des Francs. Selon Barbero il n'ont jamais été plus de 200 000 (familles comprises) à s'établir sur la rive gauche du Rhin et leurs royaumes comportaient par ailleurs une population de plusieurs millions de gallo-romains parlant le bas latin.
Barbero parle aussi de la bataille de Poitiers, confirmant son importance majeure dans l'affermissement de la dynastie carolingienne (vu comme les seuls rois capables de sauver la chrétienté), même si de nombreux historiens (qu'il cite) veulent en minimiser l'impact.
Le livre s'ouvre sur la rencontre de Charlemagne avec le pape Léon III à Paderborn et la naissance du projet de couronnement impérial. Il revient ensuite sur un schéma chronologique.
L'intro se termine par une citation d'un poète anonyme du VIIIe siècle qui qualifie Charlemagne de "rex pater Europae".
Barbero traduit par la notion contemporaine de "Père de l'Europe", oubliant à mon avis un des trois termes : rex
Pour le poète, il s'agissait d'un Roi père de l'Europe, mais bon, la raoyauté semble avoir perdu de son prestige pour vendre l'Europe
Sinon le premier chapitre relate rapidement l'histoire des Francs. Selon Barbero il n'ont jamais été plus de 200 000 (familles comprises) à s'établir sur la rive gauche du Rhin et leurs royaumes comportaient par ailleurs une population de plusieurs millions de gallo-romains parlant le bas latin.
Barbero parle aussi de la bataille de Poitiers, confirmant son importance majeure dans l'affermissement de la dynastie carolingienne (vu comme les seuls rois capables de sauver la chrétienté), même si de nombreux historiens (qu'il cite) veulent en minimiser l'impact.