Il arrive que l'Histoire ne se répète pas tout à fait. On l'a démontré samedi lors d'une initiation à la règle Blitzkrieg organisée dans une salle de l'école des troupes aéroportées de Pau sous la houlette de l'Obersturmfuhrer Loïc assisté du captain Jack (bibi), avec une escouade de joueurs à l'entrainement : David, Fredéric, Stephane et un quatrième qui - parce que j'ai oublié son prénom (l'abus de calva, s'cusez) est bien parti pour figurer sur le monument érigé en l'honneur du soldat inconnu.
L'action retraçait le combat livré à La Fiere en juin 1944. Et cette fois ci, hélas, ce sont les Ricains qu'ont pas fait les fiers.
Le récit en photos . A voir aussi , entre autres récits, sur mon blog en délire http://www.jjnapo.blogit.fr
La Normandie en 44 : ses pommiers, ses bastons, ses paysans qui planquent le calva dans les pots de chambre, et les Teutons qui vont arriver à l'arrière plan de la photo.
Justement, les vl'a qui déboulent ces fiers à bras
Les ch'ti gars du Tennessee, qui figurent parmi les plus grandes gueules des troupes aéroportées, les attendent en rigolant derrière des bosquets. Prêts à leur envoyer autre chose qu'un chewing-gum pré-maché
Comme les GI's sont des poètes. Ils commencent à balancer des obus de mortier de 60 sur les premiers invités à la ketchup party. C'est curieux. Les intéressés ont pas l'air d'apprécier.
Dans la foulée, histoire de mettre de l'ambiance, un porteur de bazooka planqué dans la première maison du hameau s'amuse à mettre le feu aux véhicules (blindés) des convives ostrogoths
Helmut, Gunther, Friedrich et leurs potes ne sont pas en reste. Trouvant très amusant ce petit jeu, ils répondent à coups de mortiers de 120 et de 81. Ach ! Donnerwetter ! Gu'eze gu'on rigole, hein, les gobains ? C'est au tour des cow-boys de manger chaud.
Mis en appétit, les Teutons décident de prendre d'assaut les assiettes de chips planquées dans les premières maisons.Nom d'une saucisse de Francfort, c'est que ca donne faim de faire la nouba !
Au passage, le conducteur d'un char wermachtien (en fait un char français récupéré à l'époque par les Allemands) écrase par inadvertance les servants d'un mortier ricain occupés à bouffer de la mozarella autour de leur lance-patate. Oups ! Enschuldigung, meine herren ! Che ne fous afais bas vus
Du coup, rétamés, laminés et transformés en bretzels, les zouaves du Massachusets se retrouvent quasiment à poil. Avec un seul canon de 57 pour repousser les hordes barbares. C'est l'halali. Ah la la !
En face, Loïc, promu illico feldmarchal savoure sa victoire. Et moi, je n'ai qu'une chose à dire : VENGEEAAANNNCE !
L'action retraçait le combat livré à La Fiere en juin 1944. Et cette fois ci, hélas, ce sont les Ricains qu'ont pas fait les fiers.
Le récit en photos . A voir aussi , entre autres récits, sur mon blog en délire http://www.jjnapo.blogit.fr
La Normandie en 44 : ses pommiers, ses bastons, ses paysans qui planquent le calva dans les pots de chambre, et les Teutons qui vont arriver à l'arrière plan de la photo.
Justement, les vl'a qui déboulent ces fiers à bras
Les ch'ti gars du Tennessee, qui figurent parmi les plus grandes gueules des troupes aéroportées, les attendent en rigolant derrière des bosquets. Prêts à leur envoyer autre chose qu'un chewing-gum pré-maché
Comme les GI's sont des poètes. Ils commencent à balancer des obus de mortier de 60 sur les premiers invités à la ketchup party. C'est curieux. Les intéressés ont pas l'air d'apprécier.
Dans la foulée, histoire de mettre de l'ambiance, un porteur de bazooka planqué dans la première maison du hameau s'amuse à mettre le feu aux véhicules (blindés) des convives ostrogoths
Helmut, Gunther, Friedrich et leurs potes ne sont pas en reste. Trouvant très amusant ce petit jeu, ils répondent à coups de mortiers de 120 et de 81. Ach ! Donnerwetter ! Gu'eze gu'on rigole, hein, les gobains ? C'est au tour des cow-boys de manger chaud.
Mis en appétit, les Teutons décident de prendre d'assaut les assiettes de chips planquées dans les premières maisons.Nom d'une saucisse de Francfort, c'est que ca donne faim de faire la nouba !
Au passage, le conducteur d'un char wermachtien (en fait un char français récupéré à l'époque par les Allemands) écrase par inadvertance les servants d'un mortier ricain occupés à bouffer de la mozarella autour de leur lance-patate. Oups ! Enschuldigung, meine herren ! Che ne fous afais bas vus
Du coup, rétamés, laminés et transformés en bretzels, les zouaves du Massachusets se retrouvent quasiment à poil. Avec un seul canon de 57 pour repousser les hordes barbares. C'est l'halali. Ah la la !
En face, Loïc, promu illico feldmarchal savoure sa victoire. Et moi, je n'ai qu'une chose à dire : VENGEEAAANNNCE !