Je cherche un modérateur qu'il corrige mes fautes... merci
Pour comprendre comment ce jeu ait obtenu les CR Awards 2009 voyons nous ce qu'ils écrivent sur Armchair General. Dessiné par Danny Holte, auteur du Wargamer's Reference Guide, June '44 comme son jumeau dans DDH Games' "Destination: Normandy" semble être amusant à jouer. Destination: Normandy est un jeu introductif - bon pour novices - pendant que, par contre, June '44 est plus complexe et destiné à un public déjà expert, qu'il devrait réussir, dans un après-midi, à simuler soit le débarquement soit l'avance dans le bocage. Le jeu y arrive dans un box en plastique, présente un livret des règles illustré et clair, la carte de la Normandie des même plages à l'intérieur, une feuille de tableaux et une feuille de pions... en il y a aussi un dé d10 et quelques sachets pour contenir les pions.
L’échelle du jeu est stratégique avec chaque tour de deux jours, pions pour division, brigades ou régiments. Vous trouvez en chaque cas aussi les missions aériennes soit alliées soit allemandes, les bombardements navals et les parachutistes.
Son premier tour est le D-Day, 6 de juin 1944, avec un temps incertain. Le meteo sera calculé à chaque tour suivant, mais il sera aussi conditionnée par cartes casuels tirées par les joueurs. Le temps évidemment conditionne les opérations aériennes, excellentes avec du soleil, nulles avec la pluie. Les joueurs tirent le dé aussi pour les ravitaillements et pour les remplacements qui reportent les unités à pleine force.
Les règles du "supply" sont courtes, logiques et élégants. Les Alliés tracent les lignes de ravitaillement aux même plages de débarquement, les Allemands à l'intérieur. Le numéro des ravitaillements disponibles conditionne le numéro d'activités offensives avec rapport 1:1, un "supply" pour chaque attaque. Cependant en défense il ne se tient pas compte des ravitaillements.
Parachutistes
Avant de la phase de débarquement du premier tour les para alliés se lancent avec le mécanisme habituel du scatter. Puis les alliés doivent tâcher de réunir plus d'unités para à constituer unités plus grandes; opération difficile car l'Allemand pourvoit à la « chasse au faisan » en tâchant de détruire les parachutistes ennemis. C'est un niveau de détail insolite pour ces échelle de jeu et il rend sûrement plus « thrilling » le tour initial, d'habitude le plus amusant dans les jeux sur le D-Day.
Les cartes (étaient elles nécessaires ?) et les combats
Chaque tour les joueurs extraient à sort des cartes; chaque joueur peut en avoir deux en main. Ils peuvent les jouer pour contrôler le temps, (fait beaucoup Jupiter en Olympe), influencer les renforcements et donner aux Allemands encore plus d’appuis d’avions. Comme en chaque card-driven qu'il se respecte les joueurs peuvent jouer les papiers contre celles de l'adversaire pour en bloquer ses tactiques. Les papiers sont sûrement une concession à la commercialisation USA et elles pouvaient être remplacées confortablement par opportuns tableaux.
Dans les combats chaque joueur tire sur la CRT soit en attaque soit en défense. Les résultats en effet s'appliquent à les deux adversaires. Aussi ici, comme en Destination:Normandy n'est pas escompté que qui il a les plus grands numéros, puisse gagner aisément la bataille.
En synthèse le jeu est chouette, beau graphiquement et avec des règles claires. Il ne semble pas avoir porté quelque innovation, cependant, à un sujet déjà traité en autres systèmes et jeux. Si vraiment un voulût jouer avec les règles de Danny Holte il pourrait utiliser du Destination: Normandy avec qui’l veut apprendre des wargames et aller directement sur Battles for Normandy, Danny Holte pour le GMT, s'il veut jouer avec experts ... et s'il a place en salle. En effet il ne se comprend pas bien quel soit le target de June' 44, à moins qu'un ne joue que le tour de débarquement et continue avec un Liberty Road (Hexasim), par exemple, qu'il semble plus innovant et vif.
Pour comprendre comment ce jeu ait obtenu les CR Awards 2009 voyons nous ce qu'ils écrivent sur Armchair General. Dessiné par Danny Holte, auteur du Wargamer's Reference Guide, June '44 comme son jumeau dans DDH Games' "Destination: Normandy" semble être amusant à jouer. Destination: Normandy est un jeu introductif - bon pour novices - pendant que, par contre, June '44 est plus complexe et destiné à un public déjà expert, qu'il devrait réussir, dans un après-midi, à simuler soit le débarquement soit l'avance dans le bocage. Le jeu y arrive dans un box en plastique, présente un livret des règles illustré et clair, la carte de la Normandie des même plages à l'intérieur, une feuille de tableaux et une feuille de pions... en il y a aussi un dé d10 et quelques sachets pour contenir les pions.
L’échelle du jeu est stratégique avec chaque tour de deux jours, pions pour division, brigades ou régiments. Vous trouvez en chaque cas aussi les missions aériennes soit alliées soit allemandes, les bombardements navals et les parachutistes.
Son premier tour est le D-Day, 6 de juin 1944, avec un temps incertain. Le meteo sera calculé à chaque tour suivant, mais il sera aussi conditionnée par cartes casuels tirées par les joueurs. Le temps évidemment conditionne les opérations aériennes, excellentes avec du soleil, nulles avec la pluie. Les joueurs tirent le dé aussi pour les ravitaillements et pour les remplacements qui reportent les unités à pleine force.
Les règles du "supply" sont courtes, logiques et élégants. Les Alliés tracent les lignes de ravitaillement aux même plages de débarquement, les Allemands à l'intérieur. Le numéro des ravitaillements disponibles conditionne le numéro d'activités offensives avec rapport 1:1, un "supply" pour chaque attaque. Cependant en défense il ne se tient pas compte des ravitaillements.
Parachutistes
Avant de la phase de débarquement du premier tour les para alliés se lancent avec le mécanisme habituel du scatter. Puis les alliés doivent tâcher de réunir plus d'unités para à constituer unités plus grandes; opération difficile car l'Allemand pourvoit à la « chasse au faisan » en tâchant de détruire les parachutistes ennemis. C'est un niveau de détail insolite pour ces échelle de jeu et il rend sûrement plus « thrilling » le tour initial, d'habitude le plus amusant dans les jeux sur le D-Day.
Les cartes (étaient elles nécessaires ?) et les combats
Chaque tour les joueurs extraient à sort des cartes; chaque joueur peut en avoir deux en main. Ils peuvent les jouer pour contrôler le temps, (fait beaucoup Jupiter en Olympe), influencer les renforcements et donner aux Allemands encore plus d’appuis d’avions. Comme en chaque card-driven qu'il se respecte les joueurs peuvent jouer les papiers contre celles de l'adversaire pour en bloquer ses tactiques. Les papiers sont sûrement une concession à la commercialisation USA et elles pouvaient être remplacées confortablement par opportuns tableaux.
Dans les combats chaque joueur tire sur la CRT soit en attaque soit en défense. Les résultats en effet s'appliquent à les deux adversaires. Aussi ici, comme en Destination:Normandy n'est pas escompté que qui il a les plus grands numéros, puisse gagner aisément la bataille.
En synthèse le jeu est chouette, beau graphiquement et avec des règles claires. Il ne semble pas avoir porté quelque innovation, cependant, à un sujet déjà traité en autres systèmes et jeux. Si vraiment un voulût jouer avec les règles de Danny Holte il pourrait utiliser du Destination: Normandy avec qui’l veut apprendre des wargames et aller directement sur Battles for Normandy, Danny Holte pour le GMT, s'il veut jouer avec experts ... et s'il a place en salle. En effet il ne se comprend pas bien quel soit le target de June' 44, à moins qu'un ne joue que le tour de débarquement et continue avec un Liberty Road (Hexasim), par exemple, qu'il semble plus innovant et vif.