J'y suis allé piano piano avec les Autrichiens parce que le Blitz en napoléonien je ne savais pas que cela se faisait.... Ces jeunes appliquent les pratiques utilisées par les joueurs de Warcraft ou autres jeu du même genre, dans notre noble jeu.... Ça respectent rien ces jeunes loups sanguinaires aux dents longues.... MAis il faut avouer que cela à l'air de marcher.... enfin des fois... mais les dégâts sont énormes autant pour l'attaquant que pour le défenseur.
Le système est tel qu'il produit des retournements de dernières minutes (il n'est peut être pas le seul mais je n'en connais pas d'autres..). C'est un de ses charmes mais ce n'est pas le seul.
Il y a beaucoup de "mental" dans la pratique du jeu d'histoire qu'on se le dise... Je me suis fait "avoir" (quoique...) par la charge de Bessière qu'Éric a déclenchée sur mes unités trop avancées. Je suis devenu alors plus beaucoup plus prudent dans mon approche... C'est le moins que l'on puisse dire....
Pendant la partie j'ai effectué deux assauts à 4 contre 1 avec +3 de DRM sur Aspern avec tir de 0 ET 1 aux dés... J'y suis retourné une troisième fois (j'ai eu aussi la chance de TOUT rallier (ou presque) du premier coup les deux fois...) mais avec un ratio moindre et un DRM plus faible. J'ai fini par prendre un hex d'Aspern. Ne rien lâcher jusqu'au dernier jet de dé.... Rien
Dans le même temps je "finissais" de prendre Essling. In fine quatre hex de ville pour l'autrichien et deux pour le français. La différence s'est faite sur les unités détruites ou "ramassées" (Ah la précieuse artillerie) après déroute. Le joueur français doit décider du moment opportun pour reculer et repositionner son artillerie (dans Lobau ?) et le reste (redoute ?) avant que l'usure ne soit trop importante et que la défense ne craque, en vue de contre-attaquer le 22 (évidemment la présence du pont a son importance) et laisser ainsi aux autrichiens Essling et/ou Aspern (bon là je suppute...). Si on joue le scénario du 21 seulement le joueur français peut "sacrifier" des unités en les laissant dans Essling et Aspern qui tenteront de tenir jusqu'à la nuit pour obtenir des PdV... Cela fait un peu épicier mais bon
Bon avec seulement une seule partie dans la musette il y a certainement un grand nombre de subtilités qui m'ont échappées. Pour une première partie avec ce système, cela m'a bien plu je l'avoue. C'est prenant. Les parties sont dynamiques, avec des retournements incessants.
Comme l'écrit plus haut Éric de Damas, le système est pointu mais doit être plaisant une fois que l'on le maîtrise, ce qui n'est pas encore mon cas... Comme je ne connais pas d'autres systèmes de jeu napoléonien je ne peux le comparer mais seulement donner que mon sentiment de novice
Le système est tel qu'il produit des retournements de dernières minutes (il n'est peut être pas le seul mais je n'en connais pas d'autres..). C'est un de ses charmes mais ce n'est pas le seul.
Il y a beaucoup de "mental" dans la pratique du jeu d'histoire qu'on se le dise... Je me suis fait "avoir" (quoique...) par la charge de Bessière qu'Éric a déclenchée sur mes unités trop avancées. Je suis devenu alors plus beaucoup plus prudent dans mon approche... C'est le moins que l'on puisse dire....
Pendant la partie j'ai effectué deux assauts à 4 contre 1 avec +3 de DRM sur Aspern avec tir de 0 ET 1 aux dés... J'y suis retourné une troisième fois (j'ai eu aussi la chance de TOUT rallier (ou presque) du premier coup les deux fois...) mais avec un ratio moindre et un DRM plus faible. J'ai fini par prendre un hex d'Aspern. Ne rien lâcher jusqu'au dernier jet de dé.... Rien
Dans le même temps je "finissais" de prendre Essling. In fine quatre hex de ville pour l'autrichien et deux pour le français. La différence s'est faite sur les unités détruites ou "ramassées" (Ah la précieuse artillerie) après déroute. Le joueur français doit décider du moment opportun pour reculer et repositionner son artillerie (dans Lobau ?) et le reste (redoute ?) avant que l'usure ne soit trop importante et que la défense ne craque, en vue de contre-attaquer le 22 (évidemment la présence du pont a son importance) et laisser ainsi aux autrichiens Essling et/ou Aspern (bon là je suppute...). Si on joue le scénario du 21 seulement le joueur français peut "sacrifier" des unités en les laissant dans Essling et Aspern qui tenteront de tenir jusqu'à la nuit pour obtenir des PdV... Cela fait un peu épicier mais bon
Bon avec seulement une seule partie dans la musette il y a certainement un grand nombre de subtilités qui m'ont échappées. Pour une première partie avec ce système, cela m'a bien plu je l'avoue. C'est prenant. Les parties sont dynamiques, avec des retournements incessants.
Comme l'écrit plus haut Éric de Damas, le système est pointu mais doit être plaisant une fois que l'on le maîtrise, ce qui n'est pas encore mon cas... Comme je ne connais pas d'autres systèmes de jeu napoléonien je ne peux le comparer mais seulement donner que mon sentiment de novice