J'ai commencé une partie solo de HIS sur vassal.
Voici le résultat du tour 1.
1517 - un pasteur protestant du nom de Luther enflamme le coeur de l'Europe. Par ses thèses novatrices, il séduit les princes allemands, prompts à se débarrasser de la tutelle pesante de l'Empire Hapsbourg.
Charles Quint a d'autres soucis en tête. La France est un adversaire dangereux avec qui une paix rapide est préférable tant que la position est forte. Les armées turques sont loin, mais elles seront aux portes de Vienne d'ici peu. Il faut donc frapper fort. Ferdinand est donc envoyé rassembler une puissante armée depuis Bruxelles pour menacer Paris, après des préparations de printemps très impressionnantes.
François 1er quand à lui est bien décidé à tenir bon. Il sait que le temps joue en sa faveur et que l'impérial ne pourra pas tenir ce front éternellement. Il se réfugie donc à Brest, laissant la défense de Paris à Montmorency, se préparant à contre attaquer en menaçant de couper les lignes de ravitaillement d'une armée qui assiègerait Paris.
L'Angleterre quand à elle, commence les négociations pour obtenir son divorce. Les affaires se présentent mal. Une armée est assemblée pour se débarrasser de l'épine écossaise et des explorateurs vont vers le nouveau monde.
La Turquie elle, conquiert Belgrade sans coup férir et se présente aux portes de Buda.
L'Empire quand à lui est bloqué par la défense sans faille du français. Ce dernier se permet même d'envoyer moult explorateurs, colons et mêmes expéditions de conquêtes vers le nouveau monde. Pour que l'insulte soit complète, François 1er organise même une fête extraordinaire pour l'inauguration du palais de Chambord, dont on dit qu'il serait sans égal dans le monde.
Le protestantisme continue d'enflammer l'Allemagne, les électorats tombant les uns après les autres. Le Pape est il inconscient ou se sent-il juste impuissant face à cette montée de l'hérésie ? Il monte une armée de mercenaires et met le siège sur Florence.
Pendant ce temps, Soliman pêche par précipitation et son armée est battue de justesse devant Buda malgré l'intervention aussi massive qu'inefficace des janissaires. Charle Quint respire pour Vienne. Si son opération militaire face à la France est dans l'impasse, l'échec turc compense partiellement.
L'artillerie papale bombarde Florence qui tombe, avec ses richesses. Le Pape lance alors des contre réformes énergiques, soutenu par Charles Quint. Ausbourg repasse sous contrôle catholique. L'hémorragie est partiellement contenue.
L'explorateur anglais Rut disparait avec son équipage. Plus personne n'entendra parler de lui.
Le français Roberval revient avec des histoires fabuleuses sur un fleuve sans fin, baptisé l'Amazone.
De Vaca lui revient bredouille.
Cordova et sa troupe de conquistadores meurent criblés de flèches, tout comme les membres de l'expédition française.
Montréal est fondé par de courageux colons. Les richesses qu'elle fait parvenir en métropole sont prometteuses. Puerto Rico s'installe mais prend du retard et n'est pas encore en mesure de livrer les marchandises rares attendues.
Bilan :
Protestant 4 VP, mais déjà 15 espaces convertis, dont des electorats.
Hapsbourg : 9 VP, une impasse militaire en France, un échec dans le nouveau monde, mais de l'air face à la Turquie
Angleterre : 9 VP et une belle armée prête à frapper
France : 15 VP et une situation militaire intéressante, bien que toujours préoccupante
Papauté : 17 VP, une allemagne presque entièrement protestante, mais une belle cité conquise et une contre réforme plutôt réussie, malgré des envoyés peu efficaces
Turquie : 10 VP, et du retard sur le tableau de marche pour cause de précipitation.
La situation en image, avant résolution des expéditions dans le nouveau monde et retour au bercail des unités déployées.
Voici le résultat du tour 1.
1517 - un pasteur protestant du nom de Luther enflamme le coeur de l'Europe. Par ses thèses novatrices, il séduit les princes allemands, prompts à se débarrasser de la tutelle pesante de l'Empire Hapsbourg.
Charles Quint a d'autres soucis en tête. La France est un adversaire dangereux avec qui une paix rapide est préférable tant que la position est forte. Les armées turques sont loin, mais elles seront aux portes de Vienne d'ici peu. Il faut donc frapper fort. Ferdinand est donc envoyé rassembler une puissante armée depuis Bruxelles pour menacer Paris, après des préparations de printemps très impressionnantes.
François 1er quand à lui est bien décidé à tenir bon. Il sait que le temps joue en sa faveur et que l'impérial ne pourra pas tenir ce front éternellement. Il se réfugie donc à Brest, laissant la défense de Paris à Montmorency, se préparant à contre attaquer en menaçant de couper les lignes de ravitaillement d'une armée qui assiègerait Paris.
L'Angleterre quand à elle, commence les négociations pour obtenir son divorce. Les affaires se présentent mal. Une armée est assemblée pour se débarrasser de l'épine écossaise et des explorateurs vont vers le nouveau monde.
La Turquie elle, conquiert Belgrade sans coup férir et se présente aux portes de Buda.
L'Empire quand à lui est bloqué par la défense sans faille du français. Ce dernier se permet même d'envoyer moult explorateurs, colons et mêmes expéditions de conquêtes vers le nouveau monde. Pour que l'insulte soit complète, François 1er organise même une fête extraordinaire pour l'inauguration du palais de Chambord, dont on dit qu'il serait sans égal dans le monde.
Le protestantisme continue d'enflammer l'Allemagne, les électorats tombant les uns après les autres. Le Pape est il inconscient ou se sent-il juste impuissant face à cette montée de l'hérésie ? Il monte une armée de mercenaires et met le siège sur Florence.
Pendant ce temps, Soliman pêche par précipitation et son armée est battue de justesse devant Buda malgré l'intervention aussi massive qu'inefficace des janissaires. Charle Quint respire pour Vienne. Si son opération militaire face à la France est dans l'impasse, l'échec turc compense partiellement.
L'artillerie papale bombarde Florence qui tombe, avec ses richesses. Le Pape lance alors des contre réformes énergiques, soutenu par Charles Quint. Ausbourg repasse sous contrôle catholique. L'hémorragie est partiellement contenue.
L'explorateur anglais Rut disparait avec son équipage. Plus personne n'entendra parler de lui.
Le français Roberval revient avec des histoires fabuleuses sur un fleuve sans fin, baptisé l'Amazone.
De Vaca lui revient bredouille.
Cordova et sa troupe de conquistadores meurent criblés de flèches, tout comme les membres de l'expédition française.
Montréal est fondé par de courageux colons. Les richesses qu'elle fait parvenir en métropole sont prometteuses. Puerto Rico s'installe mais prend du retard et n'est pas encore en mesure de livrer les marchandises rares attendues.
Bilan :
Protestant 4 VP, mais déjà 15 espaces convertis, dont des electorats.
Hapsbourg : 9 VP, une impasse militaire en France, un échec dans le nouveau monde, mais de l'air face à la Turquie
Angleterre : 9 VP et une belle armée prête à frapper
France : 15 VP et une situation militaire intéressante, bien que toujours préoccupante
Papauté : 17 VP, une allemagne presque entièrement protestante, mais une belle cité conquise et une contre réforme plutôt réussie, malgré des envoyés peu efficaces
Turquie : 10 VP, et du retard sur le tableau de marche pour cause de précipitation.
La situation en image, avant résolution des expéditions dans le nouveau monde et retour au bercail des unités déployées.