Historique :
Depuis l’échec des pourparlers de Laramie en juin 1866, le chef Oglala Red Cloud est persuadé que les siens ne peuvent plus désormais continuer à vivre sous la menace de l’arrivée des colons américains. Sa détermination à les repousser est d’autant plus grande que les constructions systématiques de forts par l’armée leur assurent protection et sécurité au cours de leur trajet, les encourageant donc à venir de plus en plus nombreux.
La construction de Fort Phill Kearny débute en juillet 1866 sous la direction du Colonel Henry B. Carrington, un ancien combattant de la Guerre de Sécession, le type même de l’officier d’active, engagé et efficace. Situé au bord de la Powder River, à plus de 200 miles au Nord de Fort Laramie, il protège les colons empruntant la piste Bozeman en direction de la Californie. L’eau et le bois sont abondants mais assez éloignés du site ; sa garnison imposante comprend quelques obusiers et 700 hommes du 18e régiment d’infanterie, mais manque cruellement de cavalerie. D’abord protégés par un rectangle de 226 chariots, les soldats ont débuté les travaux le 15 juillet, utilisant notamment des scies à vapeur, pour achever l’ouvrage fin décembre.
Cependant, dès le 17 juillet les Sioux ont attaqué les forces US et leur ont volé 175 chevaux et mules. Très vite les raids se multiplient, à tel point que le camp est vite surnommé « Fort Périlleux » du fait des attaques indiennes incessantes. Carrington qui possède des ressources limitées évite soigneusement les actions inconsidérées contre les Indiens et continue à subir ces raids. Red Cloud a choisi de concentrer tous ses efforts dans des actions de harcèlement contre le fort et la piste Bozeman. Le chef Oglala a réuni près de 3000 guerriers (Oglalas, Miniconjous, Hunkpapas et quelques Brûlés, Cheyennes et Arapahos), qui deviennent très vite des adeptes du pillage des stocks de vivres et des camps des bûcherons le long de la piste. Evitant tout risque non calculé, les Indiens menacent constamment les hommes de Carrington, de jour comme de nuit, et échappent facilement aux poursuites de l’armée ce qui démoralise de plus en plus les troupes US.
Présentation :
« Terreur sur la piste Bozeman » est un jeu en solitaire simulant la guerre qui opposa de juillet 1866 à décembre 1868 le gouvernement fédéral américain et les tribus indiennes de la plaine, Arapahos, Brûlés, Cheyennes, Hunkpapas, Minneconjous, Oglalas, alliées sous l’autorité du chef Lakota Oglala Red Cloud, pour rejeter l’expansion des hommes blancs.
Dans ce jeu, le joueur incarne le camp fédéral, il tente de construire Fort Phil Kearny et sécuriser les territoires autour de la piste afin de permettre le passage des colons vers l’ouest. En corrélation, les mécanismes de jeu simulent l’opposition des différentes tribus indiennes à ce qui est considéré comme une invasion.
Tour 0 :
A la tête du 18e régiment d’infanterie (environ 700 hommes), quelques obusiers, 226 chariots, des fonctionnaires civiles, 11 femems et enfants, 700 chevaux de trait et mules, ainsi que du bétail, le Colonel Henry B. Carrington vient d’établir son camp près de la rivière Piney Creek.
J’incarne les fédéraux et je peux exécuter un tour 0 lui permettant d’effectuer des corvées de bois et de fourrage obligatoires (et supplémentaires) pour entamer la constitution de stocks qui lui serviront à vivre et construire le fort.
Le jeu est divisé en saisons, chaque tour (3 mois), je dois pouvoir consommer 1 ressource de bois (chauffage, besoins quotidiens) et 1 ressource de fourrage, je suis donc obligé d’effectuer des corvées obligatoires : 1 de bois à chaque saison, 1 de fourrage printemps et été. Dans le cas contraire je perds des points de Sécurité.
Je commence avec 4 points de Sécurité, le camp fédéral atteint 11 points d’Insécurité il perd le jeu ; s’il perd le fort, il perd le jeu, s’il perd tous ses officiers, il perd le jeu, s’il n’a pas construit tous les bâtiments du fort, il perd le jeu.
Depuis l’échec des pourparlers de Laramie en juin 1866, le chef Oglala Red Cloud est persuadé que les siens ne peuvent plus désormais continuer à vivre sous la menace de l’arrivée des colons américains. Sa détermination à les repousser est d’autant plus grande que les constructions systématiques de forts par l’armée leur assurent protection et sécurité au cours de leur trajet, les encourageant donc à venir de plus en plus nombreux.
La construction de Fort Phill Kearny débute en juillet 1866 sous la direction du Colonel Henry B. Carrington, un ancien combattant de la Guerre de Sécession, le type même de l’officier d’active, engagé et efficace. Situé au bord de la Powder River, à plus de 200 miles au Nord de Fort Laramie, il protège les colons empruntant la piste Bozeman en direction de la Californie. L’eau et le bois sont abondants mais assez éloignés du site ; sa garnison imposante comprend quelques obusiers et 700 hommes du 18e régiment d’infanterie, mais manque cruellement de cavalerie. D’abord protégés par un rectangle de 226 chariots, les soldats ont débuté les travaux le 15 juillet, utilisant notamment des scies à vapeur, pour achever l’ouvrage fin décembre.
Cependant, dès le 17 juillet les Sioux ont attaqué les forces US et leur ont volé 175 chevaux et mules. Très vite les raids se multiplient, à tel point que le camp est vite surnommé « Fort Périlleux » du fait des attaques indiennes incessantes. Carrington qui possède des ressources limitées évite soigneusement les actions inconsidérées contre les Indiens et continue à subir ces raids. Red Cloud a choisi de concentrer tous ses efforts dans des actions de harcèlement contre le fort et la piste Bozeman. Le chef Oglala a réuni près de 3000 guerriers (Oglalas, Miniconjous, Hunkpapas et quelques Brûlés, Cheyennes et Arapahos), qui deviennent très vite des adeptes du pillage des stocks de vivres et des camps des bûcherons le long de la piste. Evitant tout risque non calculé, les Indiens menacent constamment les hommes de Carrington, de jour comme de nuit, et échappent facilement aux poursuites de l’armée ce qui démoralise de plus en plus les troupes US.
Présentation :
« Terreur sur la piste Bozeman » est un jeu en solitaire simulant la guerre qui opposa de juillet 1866 à décembre 1868 le gouvernement fédéral américain et les tribus indiennes de la plaine, Arapahos, Brûlés, Cheyennes, Hunkpapas, Minneconjous, Oglalas, alliées sous l’autorité du chef Lakota Oglala Red Cloud, pour rejeter l’expansion des hommes blancs.
Dans ce jeu, le joueur incarne le camp fédéral, il tente de construire Fort Phil Kearny et sécuriser les territoires autour de la piste afin de permettre le passage des colons vers l’ouest. En corrélation, les mécanismes de jeu simulent l’opposition des différentes tribus indiennes à ce qui est considéré comme une invasion.
Tour 0 :
A la tête du 18e régiment d’infanterie (environ 700 hommes), quelques obusiers, 226 chariots, des fonctionnaires civiles, 11 femems et enfants, 700 chevaux de trait et mules, ainsi que du bétail, le Colonel Henry B. Carrington vient d’établir son camp près de la rivière Piney Creek.
J’incarne les fédéraux et je peux exécuter un tour 0 lui permettant d’effectuer des corvées de bois et de fourrage obligatoires (et supplémentaires) pour entamer la constitution de stocks qui lui serviront à vivre et construire le fort.
Le jeu est divisé en saisons, chaque tour (3 mois), je dois pouvoir consommer 1 ressource de bois (chauffage, besoins quotidiens) et 1 ressource de fourrage, je suis donc obligé d’effectuer des corvées obligatoires : 1 de bois à chaque saison, 1 de fourrage printemps et été. Dans le cas contraire je perds des points de Sécurité.
Je commence avec 4 points de Sécurité, le camp fédéral atteint 11 points d’Insécurité il perd le jeu ; s’il perd le fort, il perd le jeu, s’il perd tous ses officiers, il perd le jeu, s’il n’a pas construit tous les bâtiments du fort, il perd le jeu.