63 ap JC Britannia
Déjà deux ans que la révolte des tribus menée par Boudicca a été vaincue, une féroce répression a extirpé toute velléité de rébellion.
Au point que l'Empereur lui même a du intervenir pour préserver l'intérêt économique de sa nouvelle conquête.
La XXe légion patrouille la partie la plus septentrionale de cette grande île, pour affirmer sa présence.
Ce matin là, le centurion Castor et son petit détachement marchent depuis des heures, lorsque des silhouettes se détachent sur une basse colline.
Des cavaliers…une patrouille d'auxiliaires de la IXe sans doute...
Mais ces derniers dévalent la pente au galop, une trompe de guerre résonne ...ils chargent !
On les distingue bien à présent, beaucoup sont cuirassés de mailles, il ne s'agit pas de simples pillards mais de guerriers nobles
Le centurion aboie ses ordres, ses légionnaires se ruent au pas de course pour former une ligne de défense sur trois rangs,
juste derrière un amas de buissons.
La protection offerte n'est pas formidable, mais Castor ordonne de préparer un lancer de Pila.
Une douzaine de lourds javelots s'abat sur la meute de centaures à moins de 20 pas, créant un beau désordre dans leurs rangs
L'élan est brisé, les chevaux renâclent devant la haie de buissons, les cavaliers celtes essaient d'atteindre les légionnaires de leurs lances, mais ces derniers sont bien protégés derrière leurs grands boucliers.
Les celtes décrochent au galop, laissant derrière eux quelques chevaux blessés et deux cavaliers à terre, la situation ne leur est pas favorable.
Ils remontent sur leur colline pour tenter leur chance à nouveau dès qu'une opportunité se présentera.
Castor fait aussitôt reculer sa troupe vers une forêt cinquante mètres derrière.
A l'abri de laquelle il reprend sa progression devenue difficile faute de chemin.
Au bout d'une heure la patrouille émerge des bois en plein soleil de midi.
Les cavaliers ne sont plus visibles.
Ils ont du abandonner...
Déjà deux ans que la révolte des tribus menée par Boudicca a été vaincue, une féroce répression a extirpé toute velléité de rébellion.
Au point que l'Empereur lui même a du intervenir pour préserver l'intérêt économique de sa nouvelle conquête.
La XXe légion patrouille la partie la plus septentrionale de cette grande île, pour affirmer sa présence.
Ce matin là, le centurion Castor et son petit détachement marchent depuis des heures, lorsque des silhouettes se détachent sur une basse colline.
Des cavaliers…une patrouille d'auxiliaires de la IXe sans doute...
Mais ces derniers dévalent la pente au galop, une trompe de guerre résonne ...ils chargent !
On les distingue bien à présent, beaucoup sont cuirassés de mailles, il ne s'agit pas de simples pillards mais de guerriers nobles
Le centurion aboie ses ordres, ses légionnaires se ruent au pas de course pour former une ligne de défense sur trois rangs,
juste derrière un amas de buissons.
La protection offerte n'est pas formidable, mais Castor ordonne de préparer un lancer de Pila.
Une douzaine de lourds javelots s'abat sur la meute de centaures à moins de 20 pas, créant un beau désordre dans leurs rangs
L'élan est brisé, les chevaux renâclent devant la haie de buissons, les cavaliers celtes essaient d'atteindre les légionnaires de leurs lances, mais ces derniers sont bien protégés derrière leurs grands boucliers.
Les celtes décrochent au galop, laissant derrière eux quelques chevaux blessés et deux cavaliers à terre, la situation ne leur est pas favorable.
Ils remontent sur leur colline pour tenter leur chance à nouveau dès qu'une opportunité se présentera.
Castor fait aussitôt reculer sa troupe vers une forêt cinquante mètres derrière.
A l'abri de laquelle il reprend sa progression devenue difficile faute de chemin.
Au bout d'une heure la patrouille émerge des bois en plein soleil de midi.
Les cavaliers ne sont plus visibles.
Ils ont du abandonner...