Je frémis quelque peu en pensant au temps qu'il nous a fallu pour mener à bien cette partie sous Vassal, mais la voici.
Je joue les français, et mon adversaire habituel les austro-bavarois.
Le set-up :
A ce stade, je n'ai qu'une idée en tête : avancer.
Profiter de ce que les austro-bavarois ne disposent pas encore de tous leurs MA.
Je pouvais choisir de sortir du bois le plus vite possible pour me retrouver en terrain clair.
Je décide toutefois d'attaquer autant que possible afin de bousculer l'adversaire et le faire reculer.
Soyons clair : tenter attaque sur attaque avec le malus en forêt n'est pas commode.
C'est pourtant ce que j'ai fait.
Dans un premier temps, cela semble marcher.
Mais pas longtemps.
Les austro-bavarois parviennent à former une ligne solide.
Je tâche de maintenir la pression.
Voici les austro-bavarois en mesure de porter leur effort sur les flancs gauche et droit de mon armée, leur permettant d'enfermer mes troupes dans la forêt et de les neutraliser.
Trop tard pour les français !
En dépit de mes efforts, je ne parviendrai pas à percer.
Je suis, disons, en très sérieuse difficulté.
Mais avec ma cavalerie, sur mon flanc droit, je parviens encore à mener de belles actions, et à desserrer l'étau ennemi.
Je fonde aussi de grands espoirs sur la Garde, qui pourrait prendre l'ennemi à revers.
Malheureusement, mon centre s'effondre. La plupart de mes unités partent en déroute, l'Empereur lui-même est menacé.
La Garde aurait très sérieusement pu, sinon renverser la situation, du moins malmener l'ennemi.
Etant donné l'état de mes troupes, j'ai concédé la victoire à mon adversaire.
Je pense avoir fait ce qu'il ne fallait pas faire.
Nous allons faire la partie retour...
Je joue les français, et mon adversaire habituel les austro-bavarois.
Le set-up :
A ce stade, je n'ai qu'une idée en tête : avancer.
Profiter de ce que les austro-bavarois ne disposent pas encore de tous leurs MA.
Je pouvais choisir de sortir du bois le plus vite possible pour me retrouver en terrain clair.
Je décide toutefois d'attaquer autant que possible afin de bousculer l'adversaire et le faire reculer.
Soyons clair : tenter attaque sur attaque avec le malus en forêt n'est pas commode.
C'est pourtant ce que j'ai fait.
Dans un premier temps, cela semble marcher.
Mais pas longtemps.
Les austro-bavarois parviennent à former une ligne solide.
Je tâche de maintenir la pression.
Voici les austro-bavarois en mesure de porter leur effort sur les flancs gauche et droit de mon armée, leur permettant d'enfermer mes troupes dans la forêt et de les neutraliser.
Trop tard pour les français !
En dépit de mes efforts, je ne parviendrai pas à percer.
Je suis, disons, en très sérieuse difficulté.
Mais avec ma cavalerie, sur mon flanc droit, je parviens encore à mener de belles actions, et à desserrer l'étau ennemi.
Je fonde aussi de grands espoirs sur la Garde, qui pourrait prendre l'ennemi à revers.
Malheureusement, mon centre s'effondre. La plupart de mes unités partent en déroute, l'Empereur lui-même est menacé.
La Garde aurait très sérieusement pu, sinon renverser la situation, du moins malmener l'ennemi.
Etant donné l'état de mes troupes, j'ai concédé la victoire à mon adversaire.
Je pense avoir fait ce qu'il ne fallait pas faire.
Nous allons faire la partie retour...