Parti vers 9h45 d'Embourg, j'avale les 100km sans encombre et suis "sur pied de guerre" vers 11h. Enfin, pas tout-à-fait, car sur base du plan envoyé par le Colonel, je décide de me parquer en face de l'entrée 5 du campus. Je suis la route et me retrouve au pied de l'experimentarium, mais 2 niveaux trop bas et à l'arrière. Rudy, arrivé plus tôt, me guide à distance et j'arrive finalement tant bien que mal à l'entrée... encore close à cette heure.
Nous serons rapidement rejoints par le Colonel et Pascal. Nous voici donc dans l'antre des wargamers bruxellois.
De notre côté, le Colonel et moi-même installons The Sword of Rome, un Card Driven Multijoueurs (nous serons 4 dès que Vanger et Kosmo nous auront retrouvés) retraçant un siècle (-362 --> -272) de guerres de l'antiquité latine.
Finalement Vanger et Kosmo nous rejoignent et nous tirons au sort les peuples:
Colonel: Romains (rouge)
Kosmo: Gaulois (cisalpins) (bleu foncé)
FredhoT: Etrusques (jaune) et Samnites (vert)
Vanger: Grecs (bleu clair)
Le colonel et Kosmo devisant sur la meilleure manière de piller l'Etrusque et ses toilettes en or.
Vanger et le colonel riant déjà des bons tours qu'ils vont se jouer l'un l'autre avec le Carthaginois voyageur.
Au tour 2, le romain, parti casser du Volsque à Antium, rit moins lorsque les Samnites emmenés par Pontius font le siège de Rome et de ses murailles réputées imprenables.
Au nord, le gaulois cisalpin (bleu) est un peu frileux en matière de pillage, et il reçoit ses cousins transalpins, plutôt mal élevés, car eux aussi se mettent à piller leurs hôtes.
En Sicile, le Grec fait le tour de l'île en long et en large, mais finira par prendre Lilybaeum la carthaginoise, après un siège de plusieurs dizaines d'années, pendant qu'Hamilcar, en 4/5 temps à ce moment-là, se repose en Afrique (il aurait le mal de mer, dit-on).
Pendant ce temps, la population de Rome se révolte (faisant passer la loyauté de Rome de 3 à 0) et ouvre les portes de la ville à Pontius (Siège 0 <--> loyauté 0 --> bingo) qui n'en demandait pas tant. Rome est donc samnite! Et elle le restera (un peu plus d'un tour).
Il n'en fallait pas plus pour que les Romains se désignent un dictateur qui tente de reprendre le futur centre du monde antique. Mais Pontius savoure l'épaisseur du mur Servien construit par les anciens maîtres de la ville (-2 en jet de Siège).
Hamilcar, boosté au touristil(R), fend la bise et débarque à Antium pour taquiner le romain. Il prendra la ville après un siège rondement mené. Pendant ce temps le dictateur romain essaie une autre tactique en faisant campagne en territoire samnite, mais ces fières tribus ne se laissent pas assujettir aussi facilement. Le Gaulois a trouvé le mode d'emploi du pillage pour les nuls sur la dépouille d'un chef gaulois transalpin mort dans les plaines du Po. Le voici donc en train de dévaliser les mines étrusques. Ceci lui donnera la 2ème place.
Sentant la fin du monde antique proche (et oui, il était presque 18h et donc temps de replier le matos), le gaulois pille tout ce qui bouge, le romain fait une grosse colère et reprend Rome (à sa dernière carte), l'étrusque est presque réduit à néant, état proche de celui du samnite. Pendant ce temps, le grec pousse une tête jusqu'en Sardaigne pour contrôler le seul VP de cette île trop longtemps délaissée par les autres (mais bon, on n'a pas les mêmes barquettes que les grecs...).
Fin du tour 4, les scores:
1) Grecs - 8 VP
2) Gaulois - 7 VP
3) Etrusques/Samnites - 6 VP
4) Romains - 5 VP
Une chouette découverte. Une très bonne ambiance autour de la table. Un jeu qui mérite qu'on y revienne en config 4 joueurs (apparemment à 3 c'est pourri, il faut voir à 5). Les combats sont assez aléatoires (chaque camp jette 3 dé6 + quelques modificateurs) et peuvent être destructeurs, mais il faut juste en tenir compte avant de se lancer dans des combats incertains.
Nous serons rapidement rejoints par le Colonel et Pascal. Nous voici donc dans l'antre des wargamers bruxellois.
De notre côté, le Colonel et moi-même installons The Sword of Rome, un Card Driven Multijoueurs (nous serons 4 dès que Vanger et Kosmo nous auront retrouvés) retraçant un siècle (-362 --> -272) de guerres de l'antiquité latine.
Finalement Vanger et Kosmo nous rejoignent et nous tirons au sort les peuples:
Colonel: Romains (rouge)
Kosmo: Gaulois (cisalpins) (bleu foncé)
FredhoT: Etrusques (jaune) et Samnites (vert)
Vanger: Grecs (bleu clair)
Le colonel et Kosmo devisant sur la meilleure manière de piller l'Etrusque et ses toilettes en or.
Vanger et le colonel riant déjà des bons tours qu'ils vont se jouer l'un l'autre avec le Carthaginois voyageur.
Au tour 2, le romain, parti casser du Volsque à Antium, rit moins lorsque les Samnites emmenés par Pontius font le siège de Rome et de ses murailles réputées imprenables.
Au nord, le gaulois cisalpin (bleu) est un peu frileux en matière de pillage, et il reçoit ses cousins transalpins, plutôt mal élevés, car eux aussi se mettent à piller leurs hôtes.
En Sicile, le Grec fait le tour de l'île en long et en large, mais finira par prendre Lilybaeum la carthaginoise, après un siège de plusieurs dizaines d'années, pendant qu'Hamilcar, en 4/5 temps à ce moment-là, se repose en Afrique (il aurait le mal de mer, dit-on).
Pendant ce temps, la population de Rome se révolte (faisant passer la loyauté de Rome de 3 à 0) et ouvre les portes de la ville à Pontius (Siège 0 <--> loyauté 0 --> bingo) qui n'en demandait pas tant. Rome est donc samnite! Et elle le restera (un peu plus d'un tour).
Il n'en fallait pas plus pour que les Romains se désignent un dictateur qui tente de reprendre le futur centre du monde antique. Mais Pontius savoure l'épaisseur du mur Servien construit par les anciens maîtres de la ville (-2 en jet de Siège).
Hamilcar, boosté au touristil(R), fend la bise et débarque à Antium pour taquiner le romain. Il prendra la ville après un siège rondement mené. Pendant ce temps le dictateur romain essaie une autre tactique en faisant campagne en territoire samnite, mais ces fières tribus ne se laissent pas assujettir aussi facilement. Le Gaulois a trouvé le mode d'emploi du pillage pour les nuls sur la dépouille d'un chef gaulois transalpin mort dans les plaines du Po. Le voici donc en train de dévaliser les mines étrusques. Ceci lui donnera la 2ème place.
Sentant la fin du monde antique proche (et oui, il était presque 18h et donc temps de replier le matos), le gaulois pille tout ce qui bouge, le romain fait une grosse colère et reprend Rome (à sa dernière carte), l'étrusque est presque réduit à néant, état proche de celui du samnite. Pendant ce temps, le grec pousse une tête jusqu'en Sardaigne pour contrôler le seul VP de cette île trop longtemps délaissée par les autres (mais bon, on n'a pas les mêmes barquettes que les grecs...).
Fin du tour 4, les scores:
1) Grecs - 8 VP
2) Gaulois - 7 VP
3) Etrusques/Samnites - 6 VP
4) Romains - 5 VP
Une chouette découverte. Une très bonne ambiance autour de la table. Un jeu qui mérite qu'on y revienne en config 4 joueurs (apparemment à 3 c'est pourri, il faut voir à 5). Les combats sont assez aléatoires (chaque camp jette 3 dé6 + quelques modificateurs) et peuvent être destructeurs, mais il faut juste en tenir compte avant de se lancer dans des combats incertains.