Lieven explique dans son livre que :
- Koutouzov estime qu'il ne faut pas marcher aussi vite que els français pour ne pas "détruire" son armée, il reste donc à l'écart ;
- Les troupes de Tchitchagov, qui viennent du sud, on effectuée des marches très pénibles pour arriver sur les lieux en temps et en heures, elles sont motivées et en bon état. Le problème vient qu'une seule partie d'entre elles se retrouvera isolé face à la Grande Armée
- Les troupe de Wittgenstein, qui viennent du nord, sont fatiguées par leurs combats contre Oudinot, Victor et Gouvion St Cyr. Leur état est comparable à celles des Français
La supériorité globale des russes dans la séquence encours (avant et après la Bérézina) provient surtout de leur supériorité en cavalerie et en artillerie. L'infanterie française reste encore nombreuse et combative.