Cavalier a écrit:
Non, juste que les blancs, les noirs et les arabes aient une vision objective de ce qui s'est passé, et ce sera déjà un pas énorme dans le bon sens!
C'est plustot difficile vu que cela intégre la partition ethnique. En expliquant aux élèves qu'ils sont différent
et ensuite faire une histoire pour ne pas qu'ils se distancient les uns des autres pose probleme et c'est en
fait un paradoxe car l'école se devait d'éviter de faire de telle différence pour ne pas avoir ensuite à recoller
les morceaux d'une citoyenetees.
Blanchard qui est si caricaturalement sur l'occident blanc, ne fait pas de l'histoire et je pèse mes mots, mais
du moralisme et du politisme (cette gauche ou pseudo gauche est hypocrite de critiquer sarkozy et la droite
quand ils veulent faire des lois et inscrire dans les manuels tels et tels éléments qu'ils apprécient, eux ont
ouvert la voie cette politiique historiographique là)
j'avais lu zoo humain, tout ce qu'il présentait était soutendu par le fil du bien et du mal sur le ton de la dénon
-ciation... (ce qui est vraiment une vision du bien et du mal en histoire, une plaie tres petite bourgeoise)
De quel droit se permetent ils de dire le bien et le mal?
ils ne l'ont pas. L
Le roy-ladurie a raison d'expliquer ce que était une histoire enseignée aux enfants et étudiants, elle perme-
tait d'établir dans l'esprit de chaqun les éléments qui peuvent lui structurer l'esprit, c'est ce que l'on appelle
l'instruction, pour qu'il puiisse construire un raisonement logique et établir une compréhension des évène-ments, la sienne.
Ainsi l'enfant ou l'individu qui le veut peut construire un acte libre de pensée, il s'agissait d'instruire pour
etre libre.
Là avec cette caste, que l'on appelle la société civile qui est sensée dire le bien et le mal, on se retrouve
avec quelques à nous inculquer par différent bien manuels d'histoire, livre, articles, conférences, émissions
manifestations publiques ( le plus pernissieu, car là la population sert de caution démocratique).
Nous avons pour les enfants une confiscation de leur élaboration d'une pensée individuelle, ce qui est com-plexe et demande du temps, et pour les individus adultes un baillonements par le chantage moral.
Blanchard n'a ni le droit d'imposer une vision de l'histoire morale à un indivu ni l'obliger à avoir une vision
de l'histoire, dans ma description de l'instruction qui permet à enfant d'élaborer se conscience du monde
par l'histoire, aucune obligation n'était pose, hors la note et le redoublement, avec cette moralisation il est
difficile d'étre un cancre, sous peine d'etre "mal vu", c'est bien une marche au pas!
Cette vision de l'enseignement et de l'histoire sous une bonne morale, s'est vu en france au 20e siecle uniquement sous vichy, quitessence de l'esprit petit tres bourgeois, avec une bonne morale et et un dogme
religieu comme rationalité.
La ressenblance ne s'arrete pas la, le statut social de ces individus est celui d'une petite bourgeoisie et leur
volonté de controller un peuple mal vu et jugé imature et dangereu parceque trop rouge en 40 et trop méchant et prompt à voter irresponsablement aux extremes, pour ces individus "éclairé", aboutit à rendre
le peuple mineur et non capable de se suffir à lui meme que ce soit par la pensée, ou moralement.
C'est un exercice auto opératoire en lui meme, car il denie aux uns tout sens critique et impose donc aux
autres de les surveiller, d'autant que ce nouvel enseignement opère depuis longtemps à l'abrutisation des
masses.
Il ne reste plus alors qu'à certains à s'imposer comme de bonnes morale de la société, comme le fut notre
petite bourgeoise au 19 et 20e siecle.
D'autant que le peuple est vu comme raciste ou soupçoner de voter mal et donc imature d'où les livres de blanchars, bhl, les études sur les soit disant genres (ce qui n'a rien de nouveau, mais l'usage politique en est
nouveau) et autres....
C'est une confiscation de liberté.