Les barbares, après de nomberux échec, parviennent enfin à percer (Alamans et Sarmates).
Cela a été possible grâce aux effet bénéfiques de la victoire des Goths à Panticapée et un événement tremblement de terre qui à fait périr de nombreux limitanei.
Mais cela va mal se terminer. Le Caesar se replie en Illyrie à Salonae (on l'aperçoit tout en bas au centre), en attendant l'arrivée de l'Augustus et de sa très grosse armée d'élite. Ce dernier commet l'imprudence d'attaquer les Sarmates seul (sans stratagème Dux permettant d'activer une autre force). L'Augustus est battu... et perd ses deux unités 9-6, les deux plus grosses du jeu.
Les deux camps sont alors (et pour la première fois) a quasi égalité de stratagème. Le barbare veut enfoncer le clou et s'enfoncer dans l'Empire. Ils attaquent simultanément le Caesar et l'Augustus (seul dans son hex. avec sa garde personelle). Deux 1 au dé consécutifs (sic) conduisent les barbares au désastre.
A la fin du tour suivant (le 5e), les Romains ont nettoyé la frontière danubienne. Il ne reste aux Barbares que Panticapée et une cité espagnole révolté (stratagème Foederati).
Nous devons nous arrêtez-là... il ets minuit et je travaille
Objectivement le barbare ne pouvais plus guère remonté la pente en 4 tours, l'Empire ayant reconstitué sa frontière imperméable encore mieux qu'au début de la partie. Sa double défaite malchanceuse a été le tournant de la partie...
A refaire, car le jeu tourne bien et en vaut la peine.
Analyse détaillée à suivre (dans VV n°98).