Après m'être bien amusé sur Seven Days of 1809, j'ai attaqué la campagne de 1806: Rossbach avenged. J'applique la mise à jour des règles qui reflète celles de 1809 (1.06/1.10).
Dans 1809, il est assez facile de se faire avoir lorsque vient le moment de tracer les lignes de ravitaillement, mais selon la façon dont les choses se déroulent, si les combat sont relativement bien centrés sur la carte, on peut éviter de tomber à court de munitions. Dans 1806, c'est complètement différent! D'une part la carte est deux fois plus grande. D'autre part la configuration est assez caricaturale, avec en gros un bord de carte pour chaque camp, d'autant plus que les autrichiens débutent loin de leurs sources d'approvisionnement. Y a-t-il donc quelque chose qui m'échappe?
J'aurais tendance à dire que l'autrichien a intérêt à ralentir le français tout en reculant vers ses lignes, histoire, à un moment donné, de renverser la vapeur et de mettre les français hors de portée tout en le re-devenant eux-mêmes. Pourtant, je trouve vraiment les effets du non-ravitaillement très limités: perte de 1 au jets d'initiative et pas d'avance après combat. Les français ayant un bon nombre de commandants, il leur reste toujours de très bonnes possibilités d'activation automatique multiple. L'autrichien doit lui davantage se reposer sur ses officiers, et s'il se met dans le caca à un moment donné, c'est encore plus difficile pour lui d'en sortir!
Quelqu'un aurait-il un avis sur la chose?
Dans 1809, il est assez facile de se faire avoir lorsque vient le moment de tracer les lignes de ravitaillement, mais selon la façon dont les choses se déroulent, si les combat sont relativement bien centrés sur la carte, on peut éviter de tomber à court de munitions. Dans 1806, c'est complètement différent! D'une part la carte est deux fois plus grande. D'autre part la configuration est assez caricaturale, avec en gros un bord de carte pour chaque camp, d'autant plus que les autrichiens débutent loin de leurs sources d'approvisionnement. Y a-t-il donc quelque chose qui m'échappe?
J'aurais tendance à dire que l'autrichien a intérêt à ralentir le français tout en reculant vers ses lignes, histoire, à un moment donné, de renverser la vapeur et de mettre les français hors de portée tout en le re-devenant eux-mêmes. Pourtant, je trouve vraiment les effets du non-ravitaillement très limités: perte de 1 au jets d'initiative et pas d'avance après combat. Les français ayant un bon nombre de commandants, il leur reste toujours de très bonnes possibilités d'activation automatique multiple. L'autrichien doit lui davantage se reposer sur ses officiers, et s'il se met dans le caca à un moment donné, c'est encore plus difficile pour lui d'en sortir!
Quelqu'un aurait-il un avis sur la chose?