En 66 après JC, la Judée, province orientale de l'Empire romain, se révolte.
Les colonnes romaines sont harcelées lors de leurs déplacements.
Les garnisons, assaillies dans les villes.
La XIIe légion, Fulminata, de Gallus , essuie un sévère échec lorsqu'elle tente de rétablir l'ordre romain
à Jérusalem.
Elle essuie de lourdes pertes et perd toute son artillerie de siège lors de sa désastreuse retraite.
Rome ne peut rester sans réagir, au risque sinon de voir la Syrie se rebeller à son tour et la Parthie en profiter pour se lancer dans une nouvelle guerre.
Les parthes, ennemis redoutés, ne cessent d'intriguer depuis des décennies pour miner la présence romaine au moyen orient.
Les raisons de la révolte des juifs étaient comme souvent dans l'Empire, liées à la rapacité de beaucoup de procureurs romains, qui levaient de lourdes taxes, pas seulement au profit de Rome...
Mais aussi du fait de conflits inter communautaires entre les autochtones juifs et les grec et romains incités par Rome à venir s'installer en Judée romaine pour conforter son contrôle sur la province.
Les procureurs ayant tendance à rendre une justice au profit de ces derniers.
En représailles les romains massacrent des juifs dans les autres provinces de Syrie, d'Egypte et tout le long de la côte de Judée.
Vespasien se voit confier trois légions, Ve, Xe et XVe, (suivies ensuite par la XIIe) pour mater les insurgés et montrer ce qu'il en coute de l'être à toute la partie orientale de l'Empire.
Il fait une campagne prudente et méthodique, pour reprendre chaque ville, ce qui lui prend plus de trois ans, avant de partir pour Rome, devenu Empereur, et d'envoyer son fils , Titus, devant Jérusalem
Jérusalem...une des plus belles citées du bord de la méditerranée.
Probablement la mieux fortifiée de tout l'Empire romain, à part Rome peut être.
Depuis des mois, des années, elle est en proie à des querelles entre factions qui ont viré à une sorte de guerre civile.
Les dissensions pour l'accaparement des ressources, pour des divergences dans la façon de répartir les richesses, pour des questions de leadership sont sans fin.
Quotidiennement des juifs tuent des juifs, Flavius Josèphe a décrit cette dérive insensée, alors que l'ennemi était à leur porte.
Il écrit que ces malheurs auraient pu être évités, si un grand leader juif avait été reconnu comme seule autorité.
Il aurait pu traiter directement avec l'Empereur et obtenir des conditions favorables en échange d'un retour à la pax romana.
Rome aurait alors surement accepté un compromis.
Mais les juifs auraient ils pu accepter à nouveau le joug romain ?
Le goût de la liberté retrouvée, fut il fort cher payé, pouvait il s'en accommoder ?
Titus commence le siège avec ses quatre légions en mars 70 apr JC.
Le mur Nord est le premier à tomber au prix de très lourdes pertes,
La ville nouvelle est conquise.
Puis c'est l'assaut des murs et la prise de la ville Tyropéenne.
Titus a enfin l'espace nécessaire pour s'attaquer au cœur de Jérusalem:
son Temple.
Véritable forteresse, recélant en son sein splendeurs et trésors, âme du peuple juif, défendue par les combattant les plus valeureux
Si le Temple tombait aux mains des romains, la résistance en serait grandement affectée, elle continuerait dans la Cité de David, ainsi que dans la haute et basse cité, mais plus aucun espoir de vaincre n'animerait
les farouches défenseurs.
Titus, veut en finir, avant que les pertes subies ne conduisent à des mutineries au sein des légions ou à des troubles dans les marches orientales de l'Empire, ou à une offensive parthe.
C'est le combat le plus déterminant du siège entamé il y a de cela 5 mois.
Le scénario proposé dans le magazine General N°26 se déroule sur une journée de 8 tours (1h30 chacun)
dont 5 de jour et 3 de nuit.
Précédemment, sur plusieurs semaines, de juillet à août 70, les romains ont effectué des travaux de sape,
des brèches ont été faites dans des pans de murs et des rampes construites,
travaux de siège nécessaires pour l'assaut décisif.
Les colonnes romaines sont harcelées lors de leurs déplacements.
Les garnisons, assaillies dans les villes.
La XIIe légion, Fulminata, de Gallus , essuie un sévère échec lorsqu'elle tente de rétablir l'ordre romain
à Jérusalem.
Elle essuie de lourdes pertes et perd toute son artillerie de siège lors de sa désastreuse retraite.
Rome ne peut rester sans réagir, au risque sinon de voir la Syrie se rebeller à son tour et la Parthie en profiter pour se lancer dans une nouvelle guerre.
Les parthes, ennemis redoutés, ne cessent d'intriguer depuis des décennies pour miner la présence romaine au moyen orient.
Les raisons de la révolte des juifs étaient comme souvent dans l'Empire, liées à la rapacité de beaucoup de procureurs romains, qui levaient de lourdes taxes, pas seulement au profit de Rome...
Mais aussi du fait de conflits inter communautaires entre les autochtones juifs et les grec et romains incités par Rome à venir s'installer en Judée romaine pour conforter son contrôle sur la province.
Les procureurs ayant tendance à rendre une justice au profit de ces derniers.
En représailles les romains massacrent des juifs dans les autres provinces de Syrie, d'Egypte et tout le long de la côte de Judée.
Vespasien se voit confier trois légions, Ve, Xe et XVe, (suivies ensuite par la XIIe) pour mater les insurgés et montrer ce qu'il en coute de l'être à toute la partie orientale de l'Empire.
Il fait une campagne prudente et méthodique, pour reprendre chaque ville, ce qui lui prend plus de trois ans, avant de partir pour Rome, devenu Empereur, et d'envoyer son fils , Titus, devant Jérusalem
Jérusalem...une des plus belles citées du bord de la méditerranée.
Probablement la mieux fortifiée de tout l'Empire romain, à part Rome peut être.
Depuis des mois, des années, elle est en proie à des querelles entre factions qui ont viré à une sorte de guerre civile.
Les dissensions pour l'accaparement des ressources, pour des divergences dans la façon de répartir les richesses, pour des questions de leadership sont sans fin.
Quotidiennement des juifs tuent des juifs, Flavius Josèphe a décrit cette dérive insensée, alors que l'ennemi était à leur porte.
Il écrit que ces malheurs auraient pu être évités, si un grand leader juif avait été reconnu comme seule autorité.
Il aurait pu traiter directement avec l'Empereur et obtenir des conditions favorables en échange d'un retour à la pax romana.
Rome aurait alors surement accepté un compromis.
Mais les juifs auraient ils pu accepter à nouveau le joug romain ?
Le goût de la liberté retrouvée, fut il fort cher payé, pouvait il s'en accommoder ?
Titus commence le siège avec ses quatre légions en mars 70 apr JC.
Le mur Nord est le premier à tomber au prix de très lourdes pertes,
La ville nouvelle est conquise.
Puis c'est l'assaut des murs et la prise de la ville Tyropéenne.
Titus a enfin l'espace nécessaire pour s'attaquer au cœur de Jérusalem:
son Temple.
Véritable forteresse, recélant en son sein splendeurs et trésors, âme du peuple juif, défendue par les combattant les plus valeureux
Si le Temple tombait aux mains des romains, la résistance en serait grandement affectée, elle continuerait dans la Cité de David, ainsi que dans la haute et basse cité, mais plus aucun espoir de vaincre n'animerait
les farouches défenseurs.
Titus, veut en finir, avant que les pertes subies ne conduisent à des mutineries au sein des légions ou à des troubles dans les marches orientales de l'Empire, ou à une offensive parthe.
C'est le combat le plus déterminant du siège entamé il y a de cela 5 mois.
Le scénario proposé dans le magazine General N°26 se déroule sur une journée de 8 tours (1h30 chacun)
dont 5 de jour et 3 de nuit.
Précédemment, sur plusieurs semaines, de juillet à août 70, les romains ont effectué des travaux de sape,
des brèches ont été faites dans des pans de murs et des rampes construites,
travaux de siège nécessaires pour l'assaut décisif.