Il y a en ce moment comme un parfum d'Italie dans l'air , avec ce beau temps, et la sortie d'ici quelques mois de "From Salerno to Roma" un nouveau wargame opérationnel prometteur sur cette campagne de la péninsule italienne, chose assez rare, car excepté le Anzio que je n'ai jamais eu, le seul wargame à ma connaissance sur ce thème est "No retreat 4 Italian front" de Carl Paradis, un jeu que j'apprécie beaucoup pour son intelligence, son gameplay et sa capacité à mettre le joueur devant des choix multiples et risqués.
Depuis juillet 1943 les alliés ont combattu sur un terrain accidenté les allemands et les italiens pour les chasser de Sicile.
Mi Août 43, les derniers kampfgruppen de panzer grenadiers et de Fallschirmjagers franchissent de nuit le détroit de Messine, abandonnant la Sicile pour continuer le combat dans la péninsule italienne.
Le général Alexander va lancer l'opération Avalanche, prévoyant des débarquements sur les plages italiennes.
Mais où débarquer ?
La logique serait de le faire au sud de la péninsule, sous couverture aérienne limitée depuis les aérodromes conquis en Sicile.
En Calabre près du port de Tarente, ou du port de Catanzaro, voire près du port de Salerno.
Naples et son aérodrome serait aussi un objectif de choix, mais sans véritable appui aérien.
D'autres, plus audacieux, envisagerait de frapper directement près de Rome, en débarquant près d'Anzio, pour prendre les allemands par surprise, mais là aussi sans l'appui de l'USAF et de la RAF
Les allemands ont probablement des forces autour de Rome, leur Luftwaffe pourrait appuyer une contre attaque sur les plages même.
Kesselring est un excellent commandant en chef, surtout en défense, il doit, lui aussi, se poser des questions sur les intentions des alliés et a du faire des choix difficiles lui aussi
Mais c'est sur le général allié que repose la plus lourde des responsabilités.
Il faut prendre Rome, (en 10 tours d'un mois pour égaler la performance historique), sans subir de revers majeur lors d'un débarquement raté.
Depuis juillet 1943 les alliés ont combattu sur un terrain accidenté les allemands et les italiens pour les chasser de Sicile.
Mi Août 43, les derniers kampfgruppen de panzer grenadiers et de Fallschirmjagers franchissent de nuit le détroit de Messine, abandonnant la Sicile pour continuer le combat dans la péninsule italienne.
Le général Alexander va lancer l'opération Avalanche, prévoyant des débarquements sur les plages italiennes.
Mais où débarquer ?
La logique serait de le faire au sud de la péninsule, sous couverture aérienne limitée depuis les aérodromes conquis en Sicile.
En Calabre près du port de Tarente, ou du port de Catanzaro, voire près du port de Salerno.
Naples et son aérodrome serait aussi un objectif de choix, mais sans véritable appui aérien.
D'autres, plus audacieux, envisagerait de frapper directement près de Rome, en débarquant près d'Anzio, pour prendre les allemands par surprise, mais là aussi sans l'appui de l'USAF et de la RAF
Les allemands ont probablement des forces autour de Rome, leur Luftwaffe pourrait appuyer une contre attaque sur les plages même.
Kesselring est un excellent commandant en chef, surtout en défense, il doit, lui aussi, se poser des questions sur les intentions des alliés et a du faire des choix difficiles lui aussi
Mais c'est sur le général allié que repose la plus lourde des responsabilités.
Il faut prendre Rome, (en 10 tours d'un mois pour égaler la performance historique), sans subir de revers majeur lors d'un débarquement raté.