¨Prologue:
22 Juin 1940 le Maréchal Pétain signe l'armistice avec Hitler.
La France est vaincue.
Hitler esquisse un pas de danse, lui même n'en revient pas...
Qui aurait pu imaginer que la puissante France, victorieuse de l'Allemagne avec ses alliés en 1818, soit abattue après une guerre éclair de seulement deux mois ?
Mais il reste un adversaire...
Hitler pense que la raison va le conduire à négocier, à faire un deal.
Après tout, l'ennemi viscéral de l'Allemagne hitlérienne c'est le bolchevisme soviétique, malgré un traité de non agression pragmatique, pas l'anglo saxonne Grande Bretagne, cousine de la race élue germanique.
Mais les jours passent et La Grande Bretagne s'obstine...
Alors les discours se font insinuants...
Puis menaçants...
Goering se fait fort de mettre la Grande Bretagne à genoux avec sa fameuse Luftwaffe.
Un plan grandiose est monté.
Il associe les trois armes: la Luftwaffe de Goering, bien sur mais aussi La Kriegsmarine, encore convalescente de la campagne de Norvège de l'Amiral Raeder et la Werchmacht auréolée de son extraordinaire victoire.
Hitler ne bluffe pas...
Il a compris que son adversaire ne sera jamais aussi vulnérable que maintenant.
Attendre serait une erreur.
Ses liens avec les USA, pour l'instant isolationnistes, sont lourds de danger à plus long terme.
Il faut en finir tant que c'est encore possible.
Les risques sont grands, Hitler ne connaît rien aux questions maritimes, mais les rebuffades de Churchill l'ont irrité au plus haut point.
Son esprit rancunier est plus fort que ses craintes.
Il impose à l'amiral Raeder, qui ne veut pas voir sa Kriegsmarine affronter la redoutable Royal Navy, de prévoir un débarquement fin août.
La Luftwaffe ne fera pas cavalier seul, comme le voudrait le présomptueux Field Marshal Goering.
Elle se contentera de détruire les tours de radar qui parsèment les côtes du sud de l'Angleterre et protègera la Kriegsmarine lorsque celle ci escortera les navires transportant les troupes qui débarqueront sur les plages anglaises.
Hitler montre la voie, elle est escarpée et incertaine, mais c'est la seule voie vers une victoire définitive.
Toute la machine de guerre nazie, au plus haut de sa puissance est tendue vers un seul but, prendre Londres et en finir avec la deuxième guerre mondiale à l'ouest.
De l'autre coté du Channel, des hommes attendent ...
Tant de choses reposent sur eux, et ils sont si peu nombreux.
22 Juin 1940 le Maréchal Pétain signe l'armistice avec Hitler.
La France est vaincue.
Hitler esquisse un pas de danse, lui même n'en revient pas...
Qui aurait pu imaginer que la puissante France, victorieuse de l'Allemagne avec ses alliés en 1818, soit abattue après une guerre éclair de seulement deux mois ?
Mais il reste un adversaire...
Hitler pense que la raison va le conduire à négocier, à faire un deal.
Après tout, l'ennemi viscéral de l'Allemagne hitlérienne c'est le bolchevisme soviétique, malgré un traité de non agression pragmatique, pas l'anglo saxonne Grande Bretagne, cousine de la race élue germanique.
Mais les jours passent et La Grande Bretagne s'obstine...
Alors les discours se font insinuants...
Puis menaçants...
Goering se fait fort de mettre la Grande Bretagne à genoux avec sa fameuse Luftwaffe.
Un plan grandiose est monté.
Il associe les trois armes: la Luftwaffe de Goering, bien sur mais aussi La Kriegsmarine, encore convalescente de la campagne de Norvège de l'Amiral Raeder et la Werchmacht auréolée de son extraordinaire victoire.
Hitler ne bluffe pas...
Il a compris que son adversaire ne sera jamais aussi vulnérable que maintenant.
Attendre serait une erreur.
Ses liens avec les USA, pour l'instant isolationnistes, sont lourds de danger à plus long terme.
Il faut en finir tant que c'est encore possible.
Les risques sont grands, Hitler ne connaît rien aux questions maritimes, mais les rebuffades de Churchill l'ont irrité au plus haut point.
Son esprit rancunier est plus fort que ses craintes.
Il impose à l'amiral Raeder, qui ne veut pas voir sa Kriegsmarine affronter la redoutable Royal Navy, de prévoir un débarquement fin août.
La Luftwaffe ne fera pas cavalier seul, comme le voudrait le présomptueux Field Marshal Goering.
Elle se contentera de détruire les tours de radar qui parsèment les côtes du sud de l'Angleterre et protègera la Kriegsmarine lorsque celle ci escortera les navires transportant les troupes qui débarqueront sur les plages anglaises.
Hitler montre la voie, elle est escarpée et incertaine, mais c'est la seule voie vers une victoire définitive.
Toute la machine de guerre nazie, au plus haut de sa puissance est tendue vers un seul but, prendre Londres et en finir avec la deuxième guerre mondiale à l'ouest.
De l'autre coté du Channel, des hommes attendent ...
Tant de choses reposent sur eux, et ils sont si peu nombreux.