Bonjour
J'ai enfin pu jouer au jeu : "la bataille de Paris" publié dans le VV 114.
Tout d'abord mes impressions. Puis je parlerai de la partie en quelques mots. Je ferai un compte rendu détaillé ce week end avec les photos.
Nous avons donc ici un jeu présentant une situation désespérée. Un camp a clairement l'avantage. L'autre tente de retarder l'échéance.
Ce schéma on le retrouve régulièrement. Pour autant, lBdP se démarque par une situation inédite : le Français va en effet être en mesure d'être réellement offensif pendant le début de la partie, infligeant des pertes surprenantes à l'ennemi. Ce dernier l'emporte finalement non parce qu'il écrase les maigres effectifs français mais parce qu'il peut le déborder facilement.
Cette position offensive française (historique) qui n'apparaît pas logique au premier abord en lisant l'article ; devient incontournable dès qu'on jette un oeil à la carte et au déploiement initial.
Le système de jeu simple et traditionnel avec son système de combat meurtrier nous ramène très bien à cet instant tragique dans toute sa complexité.
On prend donc énormément de plaisir avec le français à mener des contre attaques éclairs en s'appuyant sur les nombreux villages qui parsèment le futur champ de bataille.
Pour la partie je choisis avec les français d'adopter une posture agressive tant que Blucher n'est pas arrivé ; dans le but de battre les forces russes.
Avec les coalisés je vais tenter de gagner du temps avec l'armée russe pour ensuite bloquer l'armée française au nord pendant que les autrichiens les tourneront.
La bataille sera âprement disputée, Marmont étrillant l'armée russe (qui ne comptera bientôt plus aucun pion sur son recto...).
L'arrivée de Blucher semblera stabiliser la situation mais Marmont trouvera encore la force de plusieurs contre particulièrement efficaces et meurtriers.
Puis l'avancée inexorable des forces russo-prussiennes, la destruction des divisions isolées et l'arrivée des autrichiens feront brusquement pencher la balance sans que les coalisés aient pu entamer le groupe de combat français (puissance 20, 2 garde et 3 du corps de Marmont).
C'est finalement la cavalerie de Blucher qui, en tournant les positions de Marmont et Mortier, parvient en entrant dans Paris et en y combattant, à provoquer la reddition de la capitale.
On notera également l'héroïsme de certains gardes nationaux qui parviendront à repousser les autrichiens pourtant très supérieurs en nombre.
La bataille se termine donc au tour 9 et c'est donc un match nul avec des pertes terribles pour les alliés : 113 points de combat perdus face à 35 français.
J'ai enfin pu jouer au jeu : "la bataille de Paris" publié dans le VV 114.
Tout d'abord mes impressions. Puis je parlerai de la partie en quelques mots. Je ferai un compte rendu détaillé ce week end avec les photos.
Nous avons donc ici un jeu présentant une situation désespérée. Un camp a clairement l'avantage. L'autre tente de retarder l'échéance.
Ce schéma on le retrouve régulièrement. Pour autant, lBdP se démarque par une situation inédite : le Français va en effet être en mesure d'être réellement offensif pendant le début de la partie, infligeant des pertes surprenantes à l'ennemi. Ce dernier l'emporte finalement non parce qu'il écrase les maigres effectifs français mais parce qu'il peut le déborder facilement.
Cette position offensive française (historique) qui n'apparaît pas logique au premier abord en lisant l'article ; devient incontournable dès qu'on jette un oeil à la carte et au déploiement initial.
Le système de jeu simple et traditionnel avec son système de combat meurtrier nous ramène très bien à cet instant tragique dans toute sa complexité.
On prend donc énormément de plaisir avec le français à mener des contre attaques éclairs en s'appuyant sur les nombreux villages qui parsèment le futur champ de bataille.
Pour la partie je choisis avec les français d'adopter une posture agressive tant que Blucher n'est pas arrivé ; dans le but de battre les forces russes.
Avec les coalisés je vais tenter de gagner du temps avec l'armée russe pour ensuite bloquer l'armée française au nord pendant que les autrichiens les tourneront.
La bataille sera âprement disputée, Marmont étrillant l'armée russe (qui ne comptera bientôt plus aucun pion sur son recto...).
L'arrivée de Blucher semblera stabiliser la situation mais Marmont trouvera encore la force de plusieurs contre particulièrement efficaces et meurtriers.
Puis l'avancée inexorable des forces russo-prussiennes, la destruction des divisions isolées et l'arrivée des autrichiens feront brusquement pencher la balance sans que les coalisés aient pu entamer le groupe de combat français (puissance 20, 2 garde et 3 du corps de Marmont).
C'est finalement la cavalerie de Blucher qui, en tournant les positions de Marmont et Mortier, parvient en entrant dans Paris et en y combattant, à provoquer la reddition de la capitale.
On notera également l'héroïsme de certains gardes nationaux qui parviendront à repousser les autrichiens pourtant très supérieurs en nombre.
La bataille se termine donc au tour 9 et c'est donc un match nul avec des pertes terribles pour les alliés : 113 points de combat perdus face à 35 français.