J'ai terminé ma deuxième lecture.
La seconde partie du livre (la "reconstruction" d'une trentaine de bataille). C'ets plus répétitif et moins intéressant que la première partie du livre.
On voit aussi les limites du modèle de reconstruction. Le fondations théorique une fois posées (première partie) la transposition des effectifs donne lieu à de saffirmations plus rapides et moins étayées.
Exemple sur Platée, page 95 "The 5000 native Spartans and the 1500 associated Tegeans surely deserve veteran status given Herodotus 's repeated praise".
Pouquoi les Tégéates et pas une partie des Athéniens ? on ne le saura pas. D'autre part, après avoir enoncé le peu de fiabilité des auteurs anciens, Sabin s'appuie cette fois sur Hérodote... Ce n'est qu'un exemple
Bref, à côté de la rigueur de la construction abstraite de son modèle, Sabin se voit de facto confronté à de "l'interprétation" quand il doit choisir la valeur des unités. Il donne là sa propore compréhension et donne le flanc à des avis différents.
La conclusion fait in fine resortir sa vision des clés du bataille antique :
- La force (effectifs et valeurs)
- l'espace (le terrain et son utilisation)
- Le temps (c'est sur ce point que je le trouve le plus pertinent, beaucoup d'historiens "négligeant" souvent de donner leur vision de la durée des événements au cours d'une
bataille antique)
- Le commandemet (facteur capital)