Voici quelques histoires de combats menés pendant le Trophée du Bicentenaire.
Campagne du Portugal, version 2.0, Masséna en chef.
Episode I : Almeida, ou les prémices de Waterloo (vous comprendrez plus loin). (Jeu avec les Français, résultat défaite à cause de Loison, sale traitre)
Quelque part au Portugal...24 Juillet 1810.
Il est 6 heures du matin. Ney est à la tête de l'avant garde de l'Armée d'Espagne de Masséna, avec le VIème Corps. Son aide de camp vient le réveiller.
"Psssst, Maréchal, youhou, c'est l'heure, il est 6 heures du matin !" Lui lance-t-il sans une once de compassion. Réveillé en sursaut, Ney s'écrit "à l'attaque !", réveillant par là-même le Général Lamotte, à la tête d'une formation de 1800 cavaliers légers. A l'ordre qui lui est donné par erreur, Lamotte, sort en pyjama, enfourche son cheval, et part au galop avec sa division. Montbrun, voyant ça, se dit "merde, il va pas avoir les lauriers tout seul quand même, le bougre." Il rappelle aussitôt sa propre division et suit Lamotte. Ney se retrouve embrigadé dans le lot en beuglant des inepties du style "Ouaiiiiis, mords-y l'oeil !"
Il est 7 heures du matin. La cavalerie française arrive en face des hauteurs d'Almeida, face à l'armée anglo-portugaise commandée par Craufurd, que certains surnomment à tord et à raison "trop fort". Ce dernier dort alors profondément, entouré du 95th Rifles (800 hommes).
Il est 8 heures du matin. Lamotte, voyant les couleurs britanniques bien levées sur la position tenue par le 95th Rifles, se dit "Tiens, j'vais m'les faire, les Glaouiches !" Et fait sonner la charge. Résultat, les hommes du 95th entendent le Clairon, et parviennent à se mettre en carré, sur une position surélevée. Qu'à cela ne tiennent ! Lamotte est un pote à Lasalle, qui l'a bien formé dans les domaines de la charge à outrance à grand coup de cavalerie légère. D'ailleurs Lamotte ouvre son carnet à la page 13 : "Vous avez du bol, l'ennemi vient de se mettre en carré sur une position surélevée, et c'est de l'élite". Il est simplement écrit que la meilleure chose à faire est alors de charger sans trop regarder derrière. Ainsi, le carré est soufflé par les cavaliers de Lamotte qui hurlent des obsénités à l'adresse des Anglais aux oreilles prudes. "Oh, shocking" répondra un officier Anglais avant d'être décapité d'un coup de sabre. Tiens, ça t'apprendra.
Lamotte poursuit les Anglais, les mettant rapidement en déroute, et arrive à proximité du 52nd Foot; qui, alerté par les hurlements endiablés des Français, se met en carré, dès fois que. Résultat, Lamotte hurle à qui veut l'entendre qu'il peut mettre en déroute toute l'armée Anglaise tout seul, et repousse victorieusement le régiment britannique.
Au même moment, Montbrun, refusant que toute la gloire n'aille qu'à Lamotte, décide de charger la cavalerie Anglaise, qu'il éclate joyeusement, sans remarquer que sa charge le mène à bout portant des canons énormes d'Almeida. Le feu des batteries décime les cavaliers qui tombent comme à Gravelotte ! (c'est quoi, d'ailleurs, Gravelotte ? on est en 1810, fichtre !)
Pendant ce temps, Craufurd, qui se réveille doucement, profitant de la déroute du 95th Rifles, se frotte les yeux et se dit que c'est l'bordel de bon matin. Plus loin, la Division Loison dort à poing fermée.
Il est 9 heures. Ney applaudit fortement la cavalerie et note pour plus tard : "contre des carrés Anglais en position surélevée, suffit d'envoyer de la cavalerie légère de front, c'est un massacre" (vous voyez le lien avec Waterloo, maintenant ?). Craufurd commence à faire retraite, se disant que si un jour les divisions d'Infanterie françaises veulent participer à la kermesse, il va prendre cher. Il décide alors de défendre le Couvent et les jeunes filles qui s'y trouvent, car il ne veut pas en faire profiter aux Français, le rascal.
Il est 9h15. Loison se réveille timidement et se dit que ce serait sympa d'aller voir un peu ce que fait la cavalerie, mais prend bien garde à rester loin en retrait. Dès fois que.
Il est 9h30. C'est alors que Mermetix se réveille également, et, apprenant que la cavalerie fait un carnage, rameute sa division, et hurle "Laissez-les moi, laissez-les moi !" Et sa division part au pas de charge vers le champ de bataille.
Il est 10 heures. Le couvent est encerclé d'Anglais, les Portugaises du Couvent ne sont plus assez nombreuses pour les satisfaire. Les cavaliers, reformés après toutes les charges, se décident à s'avancer à nouveau. Alors que Loison applaudit la réussite totale de la cavalerie dans la conquête de la position des hauteurs d'Almeida, qu'il n'appuiera pas car c'est dangereux la guerre, Mermetix, poussé par sa soif de sang, traverse le champ de bataille et parvient jusqu'à l'écran de cavalerie anglais, qu'il repousse sans mal. C'est alors que Ney s'écrie : "Ben on est pas prêt de les foutre dehors ceux-là", et décide de la retraite. Almeida reste portugaise.
En face, Craufurd saute de joie. Il ne sait même pas comment il a pu en réchapper.
Episode II, Bussaco (Well well well...ington.) (Nul avec les Anglais).
27 Septembre 1810. Masséna, qui a réussit à se sortir de la situation foireuse dans laquelle Ney l'avait jeté avec Almeida (les hauteurs étaient acquises, mais pas les filles du couvent), décide d'attaquer l'armée de Wellington, qui s'est positionné sur des hauteurs. La veille, Wellington a donné la consigne de bien dormir, car une grande bataille aura lieu ! Résultat, les troupes dorment à poing fermé.
C'est ainsi que à 07h00, les troupes de Mermetix, toujours à fond, arrivent et se jetent sur les troupes de Cole, qui ne font pas un pli, et sont violemment jetées hors de leurs positions, mises en déroute, massacrées, trucidées, torchées, talquées, et une couche toute neuve, cherchez l'erreur. Loison, fidèle à lui-même, y va plus doucement. "Bigre, ce sont des Caçadores, et des Riflemen...Faut rester en dehors de la portée...". Quant à Merle, il dort encore lorsque la bataille commence. Heudelet, lui, s'approche des forces portugaises de Picton, qui le regarde d'un air peu assuré en se disant : "on va se faire déboiter...on va se faire déboiter comme à la parade..."
Mais Wellington, il est hyperfort, il est en fer et tout. Bon, le fait d'être en fer, c'est clair, c'est pas pratique pour le cheval. Mais c'est classe, et ça brille au soleil. Alors qu'il est éblouï par la lumière de Wellington, Picton reprend courage, et décide de mettre tout simplement baillonette au canon, et puis d'attaquer les Français d'Heudelet. Naturellement (y a un jeu de mot, mais je dirai pas lequel), les français ont un gros désavantage. Ils ne s'attendent vraiment pas à ce que les Portugais contre attaquent. Résultat, ils se replient en désordre, désorganisant ainsi la division de Merle qui tentait vainement de se mettre en bataille. Profitant de cette victoire, Picton contre-attaque sur toute la ligne et Heudelet est ramené sur ses lignes de départ.
Pendant ce temps, Wellington observe son flanc gauche, qui n'existe plus, et se dit, "Well." en bref, ça ne lui fait pas beaucoup peur !
Il est 08h00. Les Gaulois terminent le massacre de Cole. Pour fêter la victoire, Loison décide d'inviter tout le monde à une bouffe. Sa division se repli donc, devant un Masséna médusé, qui commence à comprendre pourquoi Ney n'a pu gagner à Almeida. Pour faire bonne mesure, son artillerie met en désordre un régiment de Caçadores.
Les troupes de Cole se rallient finalement, pour être remises en déroute par la cavalerie Gauloise. Pendant ce temps, Heudelet se gratte la tête en se demandant comment un tel foutoir est-il possible, et Merle se réorganise peu à peu et lance même une brillante offensive sur le centre Anglais, qui est repoussé.
Wellington fait alors de grands signes à Picton, pour lui dire de revenir en vitesse. Picton prend ça pour des félicitations, et poursuit l'offensive ! Il met en déroute ou désorganise une grande partie d'Heudelet, mais l'artillerie de ce dernier tire dans son infanterie comme dans du beurre, et les met en désordre.
Sur le flanc gauche, la King German Legion décide qu'il est grand temps de contre-attaquer glorieusement contre les Gaulois, et les repousse, seule. Pendant ce temps, Craufurd, qui veut se venger d'Almeida, contre-attaque également, ramenant les derniers retardataires de la division Loison (qui n'étaient pas encore à la bouffe de leur chef).
Constatant le foutoir infini les deux chefs d'Armée décident d'en rester là.
Episode III, Coimbra. (Nul avec les Français.)
Profitant de ce qu'il appela une grande victoire, Masséna poursuivit Wellington, et envoya Sainte Croix et son avant garde de cavalerie, appuyée par les divisions Solignac et Clausel vers la ville de Coimbra.
La cavalerie écrasera les troupes de Stapleton-Cotton qui sortent de la ville, ainsi qu'une bonne partie de la cavalerie légère de ce dernier. Mais la cavalerie s'avance trop, et se désorganise. Mais l'arrivée des renforts Anglais est rendue difficile par un embouteillage au niveau d'un gué. Malheureusement, après avoir brillament prit un objectif tenu par personne, Solignac se dit que les cavaliers Anglais ont l'air vraiment méchant, et préfère rester sur place avec toute sa division, l'arme au pied (un seul régiment anglais en face...).
Il tentera finalement une attaque, mais les cavaliers ne sont pas totalement idiots, et esquiveront le contact. A la fin de la matinée, les renforts français affluent, le gros de la cavalerie française est réorganisé, et Super Lamotte arrive sur le champ de bataille. On sent que les Anglais vont passer un sale quart d'heure. Et puis finalement, Sainte Croix, qui ne comprend rien à ce qu'il se passe, décide d'arrêter toute offensive, et de faire suspendre la bataille.
Campagne du Portugal, version 2.0, Masséna en chef.
Episode I : Almeida, ou les prémices de Waterloo (vous comprendrez plus loin). (Jeu avec les Français, résultat défaite à cause de Loison, sale traitre)
Quelque part au Portugal...24 Juillet 1810.
Il est 6 heures du matin. Ney est à la tête de l'avant garde de l'Armée d'Espagne de Masséna, avec le VIème Corps. Son aide de camp vient le réveiller.
"Psssst, Maréchal, youhou, c'est l'heure, il est 6 heures du matin !" Lui lance-t-il sans une once de compassion. Réveillé en sursaut, Ney s'écrit "à l'attaque !", réveillant par là-même le Général Lamotte, à la tête d'une formation de 1800 cavaliers légers. A l'ordre qui lui est donné par erreur, Lamotte, sort en pyjama, enfourche son cheval, et part au galop avec sa division. Montbrun, voyant ça, se dit "merde, il va pas avoir les lauriers tout seul quand même, le bougre." Il rappelle aussitôt sa propre division et suit Lamotte. Ney se retrouve embrigadé dans le lot en beuglant des inepties du style "Ouaiiiiis, mords-y l'oeil !"
Il est 7 heures du matin. La cavalerie française arrive en face des hauteurs d'Almeida, face à l'armée anglo-portugaise commandée par Craufurd, que certains surnomment à tord et à raison "trop fort". Ce dernier dort alors profondément, entouré du 95th Rifles (800 hommes).
Il est 8 heures du matin. Lamotte, voyant les couleurs britanniques bien levées sur la position tenue par le 95th Rifles, se dit "Tiens, j'vais m'les faire, les Glaouiches !" Et fait sonner la charge. Résultat, les hommes du 95th entendent le Clairon, et parviennent à se mettre en carré, sur une position surélevée. Qu'à cela ne tiennent ! Lamotte est un pote à Lasalle, qui l'a bien formé dans les domaines de la charge à outrance à grand coup de cavalerie légère. D'ailleurs Lamotte ouvre son carnet à la page 13 : "Vous avez du bol, l'ennemi vient de se mettre en carré sur une position surélevée, et c'est de l'élite". Il est simplement écrit que la meilleure chose à faire est alors de charger sans trop regarder derrière. Ainsi, le carré est soufflé par les cavaliers de Lamotte qui hurlent des obsénités à l'adresse des Anglais aux oreilles prudes. "Oh, shocking" répondra un officier Anglais avant d'être décapité d'un coup de sabre. Tiens, ça t'apprendra.
Lamotte poursuit les Anglais, les mettant rapidement en déroute, et arrive à proximité du 52nd Foot; qui, alerté par les hurlements endiablés des Français, se met en carré, dès fois que. Résultat, Lamotte hurle à qui veut l'entendre qu'il peut mettre en déroute toute l'armée Anglaise tout seul, et repousse victorieusement le régiment britannique.
Au même moment, Montbrun, refusant que toute la gloire n'aille qu'à Lamotte, décide de charger la cavalerie Anglaise, qu'il éclate joyeusement, sans remarquer que sa charge le mène à bout portant des canons énormes d'Almeida. Le feu des batteries décime les cavaliers qui tombent comme à Gravelotte ! (c'est quoi, d'ailleurs, Gravelotte ? on est en 1810, fichtre !)
Pendant ce temps, Craufurd, qui se réveille doucement, profitant de la déroute du 95th Rifles, se frotte les yeux et se dit que c'est l'bordel de bon matin. Plus loin, la Division Loison dort à poing fermée.
Il est 9 heures. Ney applaudit fortement la cavalerie et note pour plus tard : "contre des carrés Anglais en position surélevée, suffit d'envoyer de la cavalerie légère de front, c'est un massacre" (vous voyez le lien avec Waterloo, maintenant ?). Craufurd commence à faire retraite, se disant que si un jour les divisions d'Infanterie françaises veulent participer à la kermesse, il va prendre cher. Il décide alors de défendre le Couvent et les jeunes filles qui s'y trouvent, car il ne veut pas en faire profiter aux Français, le rascal.
Il est 9h15. Loison se réveille timidement et se dit que ce serait sympa d'aller voir un peu ce que fait la cavalerie, mais prend bien garde à rester loin en retrait. Dès fois que.
Il est 9h30. C'est alors que Mermetix se réveille également, et, apprenant que la cavalerie fait un carnage, rameute sa division, et hurle "Laissez-les moi, laissez-les moi !" Et sa division part au pas de charge vers le champ de bataille.
Il est 10 heures. Le couvent est encerclé d'Anglais, les Portugaises du Couvent ne sont plus assez nombreuses pour les satisfaire. Les cavaliers, reformés après toutes les charges, se décident à s'avancer à nouveau. Alors que Loison applaudit la réussite totale de la cavalerie dans la conquête de la position des hauteurs d'Almeida, qu'il n'appuiera pas car c'est dangereux la guerre, Mermetix, poussé par sa soif de sang, traverse le champ de bataille et parvient jusqu'à l'écran de cavalerie anglais, qu'il repousse sans mal. C'est alors que Ney s'écrie : "Ben on est pas prêt de les foutre dehors ceux-là", et décide de la retraite. Almeida reste portugaise.
En face, Craufurd saute de joie. Il ne sait même pas comment il a pu en réchapper.
Episode II, Bussaco (Well well well...ington.) (Nul avec les Anglais).
27 Septembre 1810. Masséna, qui a réussit à se sortir de la situation foireuse dans laquelle Ney l'avait jeté avec Almeida (les hauteurs étaient acquises, mais pas les filles du couvent), décide d'attaquer l'armée de Wellington, qui s'est positionné sur des hauteurs. La veille, Wellington a donné la consigne de bien dormir, car une grande bataille aura lieu ! Résultat, les troupes dorment à poing fermé.
C'est ainsi que à 07h00, les troupes de Mermetix, toujours à fond, arrivent et se jetent sur les troupes de Cole, qui ne font pas un pli, et sont violemment jetées hors de leurs positions, mises en déroute, massacrées, trucidées, torchées, talquées, et une couche toute neuve, cherchez l'erreur. Loison, fidèle à lui-même, y va plus doucement. "Bigre, ce sont des Caçadores, et des Riflemen...Faut rester en dehors de la portée...". Quant à Merle, il dort encore lorsque la bataille commence. Heudelet, lui, s'approche des forces portugaises de Picton, qui le regarde d'un air peu assuré en se disant : "on va se faire déboiter...on va se faire déboiter comme à la parade..."
Mais Wellington, il est hyperfort, il est en fer et tout. Bon, le fait d'être en fer, c'est clair, c'est pas pratique pour le cheval. Mais c'est classe, et ça brille au soleil. Alors qu'il est éblouï par la lumière de Wellington, Picton reprend courage, et décide de mettre tout simplement baillonette au canon, et puis d'attaquer les Français d'Heudelet. Naturellement (y a un jeu de mot, mais je dirai pas lequel), les français ont un gros désavantage. Ils ne s'attendent vraiment pas à ce que les Portugais contre attaquent. Résultat, ils se replient en désordre, désorganisant ainsi la division de Merle qui tentait vainement de se mettre en bataille. Profitant de cette victoire, Picton contre-attaque sur toute la ligne et Heudelet est ramené sur ses lignes de départ.
Pendant ce temps, Wellington observe son flanc gauche, qui n'existe plus, et se dit, "Well." en bref, ça ne lui fait pas beaucoup peur !
Il est 08h00. Les Gaulois terminent le massacre de Cole. Pour fêter la victoire, Loison décide d'inviter tout le monde à une bouffe. Sa division se repli donc, devant un Masséna médusé, qui commence à comprendre pourquoi Ney n'a pu gagner à Almeida. Pour faire bonne mesure, son artillerie met en désordre un régiment de Caçadores.
Les troupes de Cole se rallient finalement, pour être remises en déroute par la cavalerie Gauloise. Pendant ce temps, Heudelet se gratte la tête en se demandant comment un tel foutoir est-il possible, et Merle se réorganise peu à peu et lance même une brillante offensive sur le centre Anglais, qui est repoussé.
Wellington fait alors de grands signes à Picton, pour lui dire de revenir en vitesse. Picton prend ça pour des félicitations, et poursuit l'offensive ! Il met en déroute ou désorganise une grande partie d'Heudelet, mais l'artillerie de ce dernier tire dans son infanterie comme dans du beurre, et les met en désordre.
Sur le flanc gauche, la King German Legion décide qu'il est grand temps de contre-attaquer glorieusement contre les Gaulois, et les repousse, seule. Pendant ce temps, Craufurd, qui veut se venger d'Almeida, contre-attaque également, ramenant les derniers retardataires de la division Loison (qui n'étaient pas encore à la bouffe de leur chef).
Constatant le foutoir infini les deux chefs d'Armée décident d'en rester là.
Episode III, Coimbra. (Nul avec les Français.)
Profitant de ce qu'il appela une grande victoire, Masséna poursuivit Wellington, et envoya Sainte Croix et son avant garde de cavalerie, appuyée par les divisions Solignac et Clausel vers la ville de Coimbra.
La cavalerie écrasera les troupes de Stapleton-Cotton qui sortent de la ville, ainsi qu'une bonne partie de la cavalerie légère de ce dernier. Mais la cavalerie s'avance trop, et se désorganise. Mais l'arrivée des renforts Anglais est rendue difficile par un embouteillage au niveau d'un gué. Malheureusement, après avoir brillament prit un objectif tenu par personne, Solignac se dit que les cavaliers Anglais ont l'air vraiment méchant, et préfère rester sur place avec toute sa division, l'arme au pied (un seul régiment anglais en face...).
Il tentera finalement une attaque, mais les cavaliers ne sont pas totalement idiots, et esquiveront le contact. A la fin de la matinée, les renforts français affluent, le gros de la cavalerie française est réorganisé, et Super Lamotte arrive sur le champ de bataille. On sent que les Anglais vont passer un sale quart d'heure. Et puis finalement, Sainte Croix, qui ne comprend rien à ce qu'il se passe, décide d'arrêter toute offensive, et de faire suspendre la bataille.