Voila le début de notre partie, commencée hier, d'unhappy king charles entre midomar et moi même
Je suis donc Charles 1er roi d'Angleterre légitime, souverain de droit divin, doux, tendre, aimant son peuple et ne lui voulant que du bien. Midomar est quand à lui le vile rebelle, représentant des infâmes parlementaires s'élevant contre la volonté divine et ne souhaitant que la misère du peuple et son esclavage.
et encore, la j'ai été impartial dans ma description des 2 camps
Nous voici donc en l'an de grace 1642, en fin d'année, et la guerre est sur le point d'être déclarée entre les parlementaires et les royalistes. Voici nos positions de départ
Bref c'est le bordel. On peut tout de même dégager une tendance générale. Le pays de Galle, le nord et la Cornouaille sont plutôt, voir totalement, pro-royaliste, alors que l'est et le sud est est pratiquement totalement pro-parlementaire.
Au nord nous avons donc Newcastle (A Newcastle) et le roi (à York) qui contrôlent la région, contesté uniquement par Lord Fairfax et les places fortes de Hull et Scarborough. En bas on peut aussi voir une armée de 3 brigades royalistes sans chef à Shrewbury, et distinguer un notable local parlementaire (Brereton) et un autre royaliste (earl of Derby).
La situation est donc ici plutôt à l'avantage du Roi, du moins tant que ces *$^ù$ d'écossais viendront pas me les briser menu menu.
Au sud par contre la situation est plutôt pro parlementaire. Les royalistes n'ont qu'une seule armée, commandée par Hopton, qu'il est difficile d'extraire de la Cornouaille, sa présence permettant le maintien du contrôle politique de la zone. Car seul Oxford est une place de ravitaillement royaliste, et Bristol est une épine dans le pied qui rend difficile la communication middlands/ sud. Les parlementaires disposent quand à eux de 3 armées. Bedford garde la sortie de la Cornouaille, Waller assiège Portsmouth (qui tombe quand la guerre se déclare), et le chef des parlementaires, Essex, contrôle lui Londres. Encore une fois quelques notables locaux ajoutent à la présence de chaque camp. Lord Herbert garde le pays de Galle, plutôt pro royaliste, alors que Massey contrôle pour le parlement les approches des middlands, au nord de Bristol. Willoughby quand à lui est au commande de la région est et rend difficile toute implantation dans la région.
et maintenant, que la baston commence
Tour 1 : Fin 1642
Voici donc la situation général en fin de tour (ou début du suivant, je sais plus trop ou j'ai pris les photos. parfois c'est avant l'isolation des marqueurs politiques, parfois après,.... mais c'est avant qu'on remette le couvert question campagne en tout cas).
Le tour a été chargé et tout de suite offensif. On commence doucement avec chacun un renforcement et la Royal navy qui se déclare pour le parlement (gros malus pour moi sur le siège des ports). Je lève un noble local à Newark (région est, en dessous de Hull), je renforce Hopton au sud pendant que Midomar recrute.
Je joue alors une carte qui fait changer de camp la forteresse de Scarborough par traitrise. Cette fois ci s'en est trop. Les parlementaires, révoltés devant mon manque de coopération me déclarent la guerre, provoquant la levée de l'étendard royal (Raising the Royal standard).
Aussitôt ça commence dur au sud. Renforcé précédemment, Hopton prend Barnstaple et se précipite sur l'armée de Bedford. Le combat est difficile et une victoire mineure royale est gagnée. Les parlementaires prennent alors les devant et Essex place le siège devant Oxford, place vitale pour les royalistes. Tentant de faire de même sur Bristol, Hopton est alors intercepté par Bristol (encore vous?) qui se prend alors une volé de tous les diables. La bataille de Bath voit alors la disparition totale de l'armée de Bristol, ce qui laisse alors le sud vide de parlementaires en fin de tour. 3 brigades parlementaires détruites, dès le 1er tour, c'est pas mal du tout cette histoire
Tour 2 : Hiver 1642-1643
Situation en fin de tour sur l'ensemble de la carte.
Devant la situation tendue à Oxford, et le risque que la place tombe rapidement, le prince Rupert prend le commandement des brigades de Shrewbury et fonce sur Oxford, engageant Essex pour lui faire lever le siège. Ce dernier est défait devant Oxford dans une victoire mineure royaliste, retraitant vers Londres. Ne voulant pas en rester la, le général parlementaire recrute à nouveau et fais le tour d'Oxford, ou s'est barricadé le prince Rupert (le meilleur chef du jeu). Le but semble d'entourer Oxford, pour couper la ville du contrôle politique des midlands, ce qui est proche de réussir, n'eu été la présence de Lord Herbert au pays de Galle. D'ailleurs dans ce même pays de galle un notable local se déclare pour les parlementaires. Je sens qu'il va m'embêter lui.
Enfin, tout à fait au sud, Waller fait mouvement à Bristol pour empêcher Hopton de mettre le siège devant la place forte.
Remarquons le piteux Bedford cantonné à la garde de Londres. Il semblerai que les parlementaires ne soient pas outre mesure content de ses faits d'arme...pourtant moi j'avais aimé
Au nord par contre l'activité a été réduite. Malgré tout le Roi a fait mouvement sur Hull, assiégeant la ville grâce à son train de siege et la capturant après des bombardements répétés. Enfin la reine arrive quand à elle à Newcastle, ou le général du même nom se charge de sa défense.
Tour 3 : début 1643
Si au tour précédent j'ai eu une main d'enfer (plusieurs cartes à 3, des bon event,...) ce tour ci est une calamité car l'entièreté de ma main est composée d'évènements de mon adversaire. La grosse loose. Je joue donc à l'économie
Comme d'habitude c'est au sud que le gros des affaires a lieu. Essex prend Waller avec lui et forme une armée majeure. Il se précipite alors sur la Cornouaille, probablement pour régler son compte à Hopton qui n'est pas de taille. Celui-ci réussit à s'échapper mais ça n'est que parti remise. Pour tenter de sauver mon armée du sud je tente de provoquer Midomar en poussant en avant le prince Ruppert sur Massey, noble local parlementaire gardant Gloucester. La manoeuvre ne marche que trop bien, et Essex revient au pas de charge sur Rupert. Mais par 3 fois les armées parlementaires ne réussissent pas à vaincre et soient font des batailles indécises, soit des défaites mineures. Tellement qu'en fin de tour la grande armée parlementaire est réduite à une armée croupion. Des 3 brigades de Rupert il n'en reste qu'une suite aux désertions de fin de tour, ce qui le place quand même dans une position plus qu'inconfortable. Cependant, grâce à mes cartes core et à une carte gardé du tour précédent (Hace in Hole), le siège est remis devant Gloucester, qui finalement capitule. Une bonne chose, on ne reverra plus Massey, aidant à la communication Oxford-Pays de Galle.
Au nord il ne se passe rien d'intéressant.
Grâce aux échecs répétés des parlementaires dans le sud j'ai ainsi pu tenir sans trop de casse (et même le contraire) tout le tour, malgré la main la plus pourrie que je pouvais avoir dans le jeu.
Tour 4 : Fin 1644
le tour commence par une action des pirates royaux, qui ne ramene cependant pas assez le compteur naval pour annuler le malus au siège des ports.
Contrairement aux tours précédents les mouvements ont cette fois lieux au nord. Je suis à nouveau dans une position peu confortable car je n'ai plus de carte supplémentaire, et Midomar a eu une carte lui permettant d'en avoir 2 autres, ce qui veut dire qu'il va forcément jouer plus longtemps que moi. Je tente donc de le divertir en amenant le roi sur Macclesfield pour tenter d'assiéger le notable local parlementaire Brereton. Je me sais en infériorité numérique mais j'ai une carte de bataille. Evidement ça ne manque pas et Tom Fairfax se précipite sur le roi, qui le défait dans une victoire mineure. Une nouvelle activation permet alors de faire plier Brereton qui disparaît de la partie. Sans le savoir (a ce moment la) j'ai éliminé 2 généraux qui devaient arriver dans la New Model Army (fin du jeu) car ces notables devenaient des chefs d'armées. Ce n’est pas un mal
Cependant j'ai alors plus aucune carte et Mido lui a encore une belle main, la carte de bataille n'ayant pas arrangé les choses. Il tente alors le tout pour le tour et va sur Hull, assiège la forteresse et en 2 jets (6 et 5) la prend à la Hussarde. Je fais un peu grise mine car échanger un notable local contre la forteresse de Hull, qui m'assurait le contrôle total du nord, ça fait quand même un peu mal. On verra a l'usage si c'est si grave, mais ce n'est pas une bonne nouvelle en tout cas.
Au sud par contre rien de nouveau pour une fois. Rupert lèche ses blessures, et Essex réapparaît à Londres (il avait été vidé de brigades au tour précédent).
Et nous avons arrêté la pour cette semaine. Pour une première partie j'avoue que je suis plutôt enthousiaste sur ce jeu, que je voulais essayer depuis plus d'un an.
La situation est difficile à évaluer pour nous, comme nous sommes loin d'avoir une vue précise de ce que peu donner une partie entière. Ce qui est sur par contre c'est que les pertes définitives (combat) des parlementaires sont particulièrement lourdes
2 notables locaux, 2 milices et 1 vétéran du sud, 1 milice du nord, 2 milice de l'est, 1 milice et 1 vétéran des middlands, soit 8 brigades
pour ma part je n'ai perdu que 1 brigade vétéran des middlands, et 1 milice du pays de galle.
Il y a des chances pour que ces pertes aient un impact plus tard, par l'épuisement du pool parlementaire....en tout cas j'espère
je remarque par ailleurs plusieurs erreurs qu'on a commise hier
- waller et essex ne peuvent jamais être stackés ensemble, ce qui aurait rendu impossible la grosse armée du tour 3
- on a oublié le -2 au siège des notables locaux
et surement d'autre (je crois en avoir trouvé une 3e dans la journée, mais je m'en souviens plus). tant pis, c'est la vie.
La suite mercredi prochain, du moins j'espère
Je suis donc Charles 1er roi d'Angleterre légitime, souverain de droit divin, doux, tendre, aimant son peuple et ne lui voulant que du bien. Midomar est quand à lui le vile rebelle, représentant des infâmes parlementaires s'élevant contre la volonté divine et ne souhaitant que la misère du peuple et son esclavage.
et encore, la j'ai été impartial dans ma description des 2 camps
Nous voici donc en l'an de grace 1642, en fin d'année, et la guerre est sur le point d'être déclarée entre les parlementaires et les royalistes. Voici nos positions de départ
Bref c'est le bordel. On peut tout de même dégager une tendance générale. Le pays de Galle, le nord et la Cornouaille sont plutôt, voir totalement, pro-royaliste, alors que l'est et le sud est est pratiquement totalement pro-parlementaire.
Au nord nous avons donc Newcastle (A Newcastle) et le roi (à York) qui contrôlent la région, contesté uniquement par Lord Fairfax et les places fortes de Hull et Scarborough. En bas on peut aussi voir une armée de 3 brigades royalistes sans chef à Shrewbury, et distinguer un notable local parlementaire (Brereton) et un autre royaliste (earl of Derby).
La situation est donc ici plutôt à l'avantage du Roi, du moins tant que ces *$^ù$ d'écossais viendront pas me les briser menu menu.
Au sud par contre la situation est plutôt pro parlementaire. Les royalistes n'ont qu'une seule armée, commandée par Hopton, qu'il est difficile d'extraire de la Cornouaille, sa présence permettant le maintien du contrôle politique de la zone. Car seul Oxford est une place de ravitaillement royaliste, et Bristol est une épine dans le pied qui rend difficile la communication middlands/ sud. Les parlementaires disposent quand à eux de 3 armées. Bedford garde la sortie de la Cornouaille, Waller assiège Portsmouth (qui tombe quand la guerre se déclare), et le chef des parlementaires, Essex, contrôle lui Londres. Encore une fois quelques notables locaux ajoutent à la présence de chaque camp. Lord Herbert garde le pays de Galle, plutôt pro royaliste, alors que Massey contrôle pour le parlement les approches des middlands, au nord de Bristol. Willoughby quand à lui est au commande de la région est et rend difficile toute implantation dans la région.
et maintenant, que la baston commence
Tour 1 : Fin 1642
Voici donc la situation général en fin de tour (ou début du suivant, je sais plus trop ou j'ai pris les photos. parfois c'est avant l'isolation des marqueurs politiques, parfois après,.... mais c'est avant qu'on remette le couvert question campagne en tout cas).
Le tour a été chargé et tout de suite offensif. On commence doucement avec chacun un renforcement et la Royal navy qui se déclare pour le parlement (gros malus pour moi sur le siège des ports). Je lève un noble local à Newark (région est, en dessous de Hull), je renforce Hopton au sud pendant que Midomar recrute.
Je joue alors une carte qui fait changer de camp la forteresse de Scarborough par traitrise. Cette fois ci s'en est trop. Les parlementaires, révoltés devant mon manque de coopération me déclarent la guerre, provoquant la levée de l'étendard royal (Raising the Royal standard).
Aussitôt ça commence dur au sud. Renforcé précédemment, Hopton prend Barnstaple et se précipite sur l'armée de Bedford. Le combat est difficile et une victoire mineure royale est gagnée. Les parlementaires prennent alors les devant et Essex place le siège devant Oxford, place vitale pour les royalistes. Tentant de faire de même sur Bristol, Hopton est alors intercepté par Bristol (encore vous?) qui se prend alors une volé de tous les diables. La bataille de Bath voit alors la disparition totale de l'armée de Bristol, ce qui laisse alors le sud vide de parlementaires en fin de tour. 3 brigades parlementaires détruites, dès le 1er tour, c'est pas mal du tout cette histoire
Tour 2 : Hiver 1642-1643
Situation en fin de tour sur l'ensemble de la carte.
Devant la situation tendue à Oxford, et le risque que la place tombe rapidement, le prince Rupert prend le commandement des brigades de Shrewbury et fonce sur Oxford, engageant Essex pour lui faire lever le siège. Ce dernier est défait devant Oxford dans une victoire mineure royaliste, retraitant vers Londres. Ne voulant pas en rester la, le général parlementaire recrute à nouveau et fais le tour d'Oxford, ou s'est barricadé le prince Rupert (le meilleur chef du jeu). Le but semble d'entourer Oxford, pour couper la ville du contrôle politique des midlands, ce qui est proche de réussir, n'eu été la présence de Lord Herbert au pays de Galle. D'ailleurs dans ce même pays de galle un notable local se déclare pour les parlementaires. Je sens qu'il va m'embêter lui.
Enfin, tout à fait au sud, Waller fait mouvement à Bristol pour empêcher Hopton de mettre le siège devant la place forte.
Remarquons le piteux Bedford cantonné à la garde de Londres. Il semblerai que les parlementaires ne soient pas outre mesure content de ses faits d'arme...pourtant moi j'avais aimé
Au nord par contre l'activité a été réduite. Malgré tout le Roi a fait mouvement sur Hull, assiégeant la ville grâce à son train de siege et la capturant après des bombardements répétés. Enfin la reine arrive quand à elle à Newcastle, ou le général du même nom se charge de sa défense.
Tour 3 : début 1643
Si au tour précédent j'ai eu une main d'enfer (plusieurs cartes à 3, des bon event,...) ce tour ci est une calamité car l'entièreté de ma main est composée d'évènements de mon adversaire. La grosse loose. Je joue donc à l'économie
Comme d'habitude c'est au sud que le gros des affaires a lieu. Essex prend Waller avec lui et forme une armée majeure. Il se précipite alors sur la Cornouaille, probablement pour régler son compte à Hopton qui n'est pas de taille. Celui-ci réussit à s'échapper mais ça n'est que parti remise. Pour tenter de sauver mon armée du sud je tente de provoquer Midomar en poussant en avant le prince Ruppert sur Massey, noble local parlementaire gardant Gloucester. La manoeuvre ne marche que trop bien, et Essex revient au pas de charge sur Rupert. Mais par 3 fois les armées parlementaires ne réussissent pas à vaincre et soient font des batailles indécises, soit des défaites mineures. Tellement qu'en fin de tour la grande armée parlementaire est réduite à une armée croupion. Des 3 brigades de Rupert il n'en reste qu'une suite aux désertions de fin de tour, ce qui le place quand même dans une position plus qu'inconfortable. Cependant, grâce à mes cartes core et à une carte gardé du tour précédent (Hace in Hole), le siège est remis devant Gloucester, qui finalement capitule. Une bonne chose, on ne reverra plus Massey, aidant à la communication Oxford-Pays de Galle.
Au nord il ne se passe rien d'intéressant.
Grâce aux échecs répétés des parlementaires dans le sud j'ai ainsi pu tenir sans trop de casse (et même le contraire) tout le tour, malgré la main la plus pourrie que je pouvais avoir dans le jeu.
Tour 4 : Fin 1644
le tour commence par une action des pirates royaux, qui ne ramene cependant pas assez le compteur naval pour annuler le malus au siège des ports.
Contrairement aux tours précédents les mouvements ont cette fois lieux au nord. Je suis à nouveau dans une position peu confortable car je n'ai plus de carte supplémentaire, et Midomar a eu une carte lui permettant d'en avoir 2 autres, ce qui veut dire qu'il va forcément jouer plus longtemps que moi. Je tente donc de le divertir en amenant le roi sur Macclesfield pour tenter d'assiéger le notable local parlementaire Brereton. Je me sais en infériorité numérique mais j'ai une carte de bataille. Evidement ça ne manque pas et Tom Fairfax se précipite sur le roi, qui le défait dans une victoire mineure. Une nouvelle activation permet alors de faire plier Brereton qui disparaît de la partie. Sans le savoir (a ce moment la) j'ai éliminé 2 généraux qui devaient arriver dans la New Model Army (fin du jeu) car ces notables devenaient des chefs d'armées. Ce n’est pas un mal
Cependant j'ai alors plus aucune carte et Mido lui a encore une belle main, la carte de bataille n'ayant pas arrangé les choses. Il tente alors le tout pour le tour et va sur Hull, assiège la forteresse et en 2 jets (6 et 5) la prend à la Hussarde. Je fais un peu grise mine car échanger un notable local contre la forteresse de Hull, qui m'assurait le contrôle total du nord, ça fait quand même un peu mal. On verra a l'usage si c'est si grave, mais ce n'est pas une bonne nouvelle en tout cas.
Au sud par contre rien de nouveau pour une fois. Rupert lèche ses blessures, et Essex réapparaît à Londres (il avait été vidé de brigades au tour précédent).
Et nous avons arrêté la pour cette semaine. Pour une première partie j'avoue que je suis plutôt enthousiaste sur ce jeu, que je voulais essayer depuis plus d'un an.
La situation est difficile à évaluer pour nous, comme nous sommes loin d'avoir une vue précise de ce que peu donner une partie entière. Ce qui est sur par contre c'est que les pertes définitives (combat) des parlementaires sont particulièrement lourdes
2 notables locaux, 2 milices et 1 vétéran du sud, 1 milice du nord, 2 milice de l'est, 1 milice et 1 vétéran des middlands, soit 8 brigades
pour ma part je n'ai perdu que 1 brigade vétéran des middlands, et 1 milice du pays de galle.
Il y a des chances pour que ces pertes aient un impact plus tard, par l'épuisement du pool parlementaire....en tout cas j'espère
je remarque par ailleurs plusieurs erreurs qu'on a commise hier
- waller et essex ne peuvent jamais être stackés ensemble, ce qui aurait rendu impossible la grosse armée du tour 3
- on a oublié le -2 au siège des notables locaux
et surement d'autre (je crois en avoir trouvé une 3e dans la journée, mais je m'en souviens plus). tant pis, c'est la vie.
La suite mercredi prochain, du moins j'espère
Dernière édition par Fix le Ven 10 Déc 2010 - 2:13, édité 1 fois