La bataille de la rivière Inyezane ou Nyezane est livrée le 22 janvier 1879 en Afrique du Sud, au KwaZulu-Natal, pendant la guerre anglo-zouloue. Alors qu’une partie de la colonne de Lord Chelmsford est sur le point de connaître un sort funeste à Isandlwana, celle commandée par le colonel Charles Pearson est attaquée par les Zoulous à 8 heures du matin. Sur le point de franchir la rivière Inyezane et faisant une halte pour prendre le petit-déjeuner, les Britannique sont en réalité tombés au cœur d’une embuscade.
Les Zoulous sont repoussés avec de lourdes pertes. Lors de cette bataille, les Britanniques font usage pour la première fois de leur histoire de mitrailleuses gatling
Placement :
En plus de l’Amabutho local comprenant l’iQhwa, l’inGulube et l’umXapho, Cetewayo a envoyé en renfort l’iZingwégwé et l’inSukamngeni commandés par Matyia, presque tous des régiments de jeunes, pressés de se battre…des isihlangus noirs (boucliers) sans taches, tous empanachés, n’ayant jamais connu la guerre.
Tapis sur les hauteurs, les Zoulous ont attendu que les « ingles » soient empêtrés au gué de l’Inyezane. Les hommes de l’avant de la colonne déjeunaient…le piège fonctionnait parfaitement.
En envoyant ses troupes indigènes et sa cavalerie inspecter les hauteurs aux alentours de la rivière Nyezane (ou Inyezane), en direction du kraal abandonné, le Colonel Pearson cherchait à prévenir toute embuscade zouloue. Bien lui en a pris, ses Natal Native Contingent débusquent les guerriers zoulous sur les hauteurs dominant la route d’Eshowe. Les indunas ne peuvent plus retenir les jeunes guerriers de l’impondo du levant (gauche), Matyiya est obligé de lancer le buffle à la charge.
Tour 1 :
Les Zoulous ont l’initiative pour les deux premiers tours.
Les guerriers ont tôt fait de mettre en débandade les « chiens noirs au service des hirondelles » (noms donnés aux Anglais par les Zoulous parce qu’ils construisent des maisons en terre) : une unité éliminée et une en déroute ; ceux de l’inGwégwé font même reculer la 1/3B. Sur la gauche zouloue la progression est aussi rapide.
Gauche zouloue
Centre zoulou
Pearson réagit avec promptitude et organise rapidement sa ligne de protection.
A gauche, il repousse les Zoulous et dispose en 2e rideau sa cavalerie, des fantassins et de l’artillerie pour protéger la tête du convoi. A droite, seul bémol, deux compagnies de Buffs ne parviennent pas à faire reculer des guerriers de l’inGwégwé ; c’est la Gatling déployée par la Brigade Navale qui les oblige à reculer.
A suivre ...
Les Zoulous sont repoussés avec de lourdes pertes. Lors de cette bataille, les Britanniques font usage pour la première fois de leur histoire de mitrailleuses gatling
Placement :
En plus de l’Amabutho local comprenant l’iQhwa, l’inGulube et l’umXapho, Cetewayo a envoyé en renfort l’iZingwégwé et l’inSukamngeni commandés par Matyia, presque tous des régiments de jeunes, pressés de se battre…des isihlangus noirs (boucliers) sans taches, tous empanachés, n’ayant jamais connu la guerre.
Tapis sur les hauteurs, les Zoulous ont attendu que les « ingles » soient empêtrés au gué de l’Inyezane. Les hommes de l’avant de la colonne déjeunaient…le piège fonctionnait parfaitement.
En envoyant ses troupes indigènes et sa cavalerie inspecter les hauteurs aux alentours de la rivière Nyezane (ou Inyezane), en direction du kraal abandonné, le Colonel Pearson cherchait à prévenir toute embuscade zouloue. Bien lui en a pris, ses Natal Native Contingent débusquent les guerriers zoulous sur les hauteurs dominant la route d’Eshowe. Les indunas ne peuvent plus retenir les jeunes guerriers de l’impondo du levant (gauche), Matyiya est obligé de lancer le buffle à la charge.
Tour 1 :
Les Zoulous ont l’initiative pour les deux premiers tours.
Les guerriers ont tôt fait de mettre en débandade les « chiens noirs au service des hirondelles » (noms donnés aux Anglais par les Zoulous parce qu’ils construisent des maisons en terre) : une unité éliminée et une en déroute ; ceux de l’inGwégwé font même reculer la 1/3B. Sur la gauche zouloue la progression est aussi rapide.
Gauche zouloue
Centre zoulou
Pearson réagit avec promptitude et organise rapidement sa ligne de protection.
A gauche, il repousse les Zoulous et dispose en 2e rideau sa cavalerie, des fantassins et de l’artillerie pour protéger la tête du convoi. A droite, seul bémol, deux compagnies de Buffs ne parviennent pas à faire reculer des guerriers de l’inGwégwé ; c’est la Gatling déployée par la Brigade Navale qui les oblige à reculer.
A suivre ...