le nouvel ATO
L'Estafette
Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous
Fais gaffe, tu commences à avoir le syndrome Fred59...HAUTPOUL a écrit:Au vu des règles les choix du concepteurs me paraissent totalement inappropriés pour simuler une bataille à cette époque et à cette échelle. Bref! Je passe!
+1HAUTPOUL a écrit:La lecture des règles est suffisante pour mesurer les possibilités de simulation du jeu. Ces mécanismes ne sont pas du tout pertinents pour représenter une bataille de la fin du XVIIème à cette échelle. Impossible en effet de simuler les batailles d'ailes, le caractère très rigide des plans de bataille, etc.
Je ne partage pas totalement ton avis. Nous pratiquons le jeu d'histoire. Par définition l'historicité ne peut être totalement laissée de côté. Le plaisir de jouer reste une notion subjective, mais sauf à vouloir faire du jeu un outil d'études pur, auquel cas on ne peut plus parler de jeu, tout jeu d'histoire est censé être ludique pour au moins une partie des joueurs le pratiquant.Fred59 a écrit:+1HAUTPOUL a écrit:La lecture des règles est suffisante pour mesurer les possibilités de simulation du jeu. Ces mécanismes ne sont pas du tout pertinents pour représenter une bataille de la fin du XVIIème à cette échelle. Impossible en effet de simuler les batailles d'ailes, le caractère très rigide des plans de bataille, etc.
Perso, je considère que la lecture des règles est souvent suffisante pour voir si les caractéristiques tactiques et militaires d'une période historique peuvent être bien simulées ou non.
Par contre, pour évaluer le plaisir de jouer, rien ne vaut une bonne partie en vis à vis.
Le degré de simulation et le plaisir de jouer sont deux choses différentes et il est pour moi inutile d'essayer de les relier.
Comme il est vain de lier simulation et complexité des règles...
Et bien... je suis tout à fait d'accord avec toi.HAUTPOUL a écrit: Je ne partage pas totalement ton avis.Nous pratiquons le jeu d'histoire. Par définition l'historicité ne peut être totalement laissée de côté. Le plaisir de jouer reste une notion subjective, mais sauf à vouloir faire du jeu un outil d'études pur, auquel cas on ne peut plus parler de jeu, tout jeu d'histoire est censé être ludique pour au moins une partie des joueurs le pratiquant.
Frédéric, je pense que tu mets plus que moi le curseur vers la jouabilité et le plaisir de jouer.Semper Victor a écrit:Personnellement je trouve ça toujours bizarre d'assassiner en même pas deux lignes un jeu qui a demandé sans aucun doute beaucoup d'efforts et de travail à son concepteur, ses développeurs et testeurs, tout cela sans même l'avoir essayé.
Je pense être capable comme vous de me faire première idée à la lecture de règles, mais je me garderai bien de tout avis prématuré et surtout définitif...
Un jeu c'est fait pour être joué, si possible à plusieurs, donc ce que je vais faire sans a priori.
L'Estafette » Discussions par périodes historiques » Renaissance et époque Moderne » ATO 40 Lilliburlero: The Battle of the Boyne, July 1690
Sujets similaires
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum