En ce jeudi 17 juillet 1941, l’U-203 s’éloigne lentement du quai où résonne encore la musique de la fanfare de la 1e Flottille d’U-boote. Dans le kiosque, le commandant Heinrich Wittenberger, après avoir salué les officiels, se concentre à présent sur les manœuvres qui conduiront son sous-marin dans la rade de Brest et, de là, en plein Atlantique… La Bataille de l’Atlantique bat son plein, et le Befehlshaber der U-boote (BdU) a donné ordre au U-203 de rejoindre la zone de patrouille n° 9, au cœur de l’Atlantique…
L’U-203, un sous-marin de Type VII, a récemment rejoint la flotte des sous-marins opérationnels, au sein de la 1e Flottille. L’équipage est constitué de jeunes dont ce sera la première mission de combat ; ils ont rallié Brest deux mois plus tôt, après une formation initiale en mer Baltique. Wittenberger lui-même a reçu sa nouvelle affectation il y a dix jours à peine. C’est d’ailleurs son premier commandement, lui qui a été, depuis le début des hostilités le brillant officier en second à bord de l’U-70, à Wilhelmshaven.
Galvanisés par le départ, ses hommes sont pressés d’en découdre et de flanquer une bonne raclée aux Anglais… Ils ont pour modèles ces Prien, Schepke ou, bien sûr, Kretschmer, leurs héros, dont la presse relate régulièrement les exploits... Alors que l’U-203 franchit le goulet de la rade de Brest, Wittenberger se laisse aller à un court instant de méditation : il connaît l’ampleur de la tâche qui les attend, lui et son équipage. Il sait aussi que tous partent, vers la gloire peut-être, mais aussi vers la mort, la leur ou celle de l’adversaire…
Tour 1 (17-19 juillet)
L’U-203 franchit le goulet de la rade de Brest et s’éloigne à pleine vitesse en direction du sud-ouest, afin de passer à l’écart des zones jouxtant la Perfide Albion, infestées d’ennemis potentiels. Il est en effet inutile de prendre le risque d’être attaqué dès la sortie du port ; de plus, c’est la 1e sortie opérationnelle de l’équipage, et il vaut mieux l’aguerrir progressivement dans des zones moins exposées…
L’U-203 s’élance donc à pleine vitesse à travers le Golfe de Gascogne et traverse 3 zones. La météo en ce 1er tour est de niveau 6 (moyen, ni bonus ni malus).
« Flug Alarm !!! » Soudain, en effet, la vigie signale un bombardier anglais [Bomb-0] en approche !
L’U-203 tente de plonger en catastrophe… 1d10 : 1 + 2 de modificateurs = 3.
Le sous-marin toutefois est repéré... Sans hésiter, Wittenberger ordonne : « Plongée coûte que coûte ! ». L’U-203 s’enfonce dans les flots mais tire 5 – 3 = 2 pions de dégâts :
. Ce E ; 1d10 : 8, perte de 2 PA…
. Cp X, le canon de pont est touché…
Malgré tout, l’U-203 est désormais à l’abri, et l’Anglais doit rompre le contact…
Alerte aérienne ! Le bombardier a sans doute pris le temps de communiquer à sa base les coordonnées de l’U-203, puisque moins de deux heures après apparaît un nouvel avion anglais… Il s’agit cette fois d’un appareil de patrouille maritime...
1d10 = 6 + 2 de modificateurs = 8. L’U-203 est à nouveau repéré par les Anglais, mais s’en tire à bon compte car l’Anglais, non armé, ne peut attaquer et se contente donc de diffuser la position du sous-marin…
Fin des contacts...
L’U-203 ayant subi des dégâts, l’équipage doit tester sa combativité : 1d10 = 9, le moral reste au beau fixe !!!
Wittenberger est satisfait, c’est un bon début, ses gars se sont bien comportés et ont un excellent moral ; la traversée du Golfe de Gascogne s’est plutôt bien passée, la mission peut vraiment commencer !!!
Tour 2 (20-22 juillet)
Le temps s’améliore légèrement, passant de 6 à 4 (toujours ni bonus, ni malus), et l’U-203 peut tailler sa route à pleine allure vers le centre Atlantique, traversant 3 nouvelles zones « côtières ». Les choses sérieuses vont pouvoir commencer !!!
Le ciel est vide d’avions ennemis. L’U-203 poursuit sa progression lorsque soudain, un cargo solitaire [2-3] est repéré ; Wittenberger décide de l’attaquer à la torpille, ce qui permettra d’entraîner l’équipage... L’U-203 tente une approche directe de sa cible, afin de profiter au maximum de l’effet de surprise.
1d10 : 7 + 5 de modificateurs = 12. L’U-203 parvient à se placer en position idéale de tir, sans avoir été repéré par le cargo. Il bénéficiera ainsi d’un bonus de +2 au dé d’attaque…
Wittenberger ordonne le lancement de 2 torpilles à impact, à vitesse rapide. Les paramètres de tir sont entrés dans le calculateur, la porte des tubes lance-torpilles ouverte. L’officier armurier signale que les « anguilles » sont prêtes… A bord de l’U-203, l’équipage retient son souffle. Dans l’excitation du combat, les gestes mille fois répétés en mer Baltique, lors des entraînements, prennent ici une saveur particulière, cette fois, on y est !!!
« Tube 1, Feuer ! Tube 2, Feuer ! ». ça y est, l’air comprimé chasse les torpilles de leur tube, elles filent à 40 nds vers leur cible. Encore quelques secondes…
1d10 : 5 + 3 = 8. Les torpilles arrivent pile sur le cargo…
Celui-ci tente en catastrophe de les éviter…
1d10 : 9 – 3 = 6. « Touché ! ». Contre une salve de 2 torpilles à grande vitesse, le cargo n’avait que peu de chance… Sa coque éventrée par une double explosion (1d10 : 9), le navire explose et coule immédiatement… Le drame s’est produit si rapidement que l’équipage du malheureux cargo n’a même pas eu le temps de réaliser ce qui se passait, ni de signaler l’attaque sur les ondes…
1e victoire !!! A bord de l’U-203, un enthousiasme indescriptible, les hommes se congratulent… Wittenberger, savoure intérieurement la liesse de ses hommes. Il se remémore ses propres premières victoires, et retrouve chez ses hommes l’enthousiasme dont il avait alors également fait preuve…
La sécurité du navire prime toutefois pour l’instant, et il faut avant tout veiller à éviter une éventuelle réaction des Anglais. L’U-203 s’éloigne donc rapidement et poursuit sa route. Ce soir, lorsque le sous-marin aura retrouvé la sécurité des profondeurs, l’équipage aura droit, lors du dîner, à une ration de Schnaps pour fêter ça…
Il ne faut en effet pas relâcher sa vigilance, un Dest-1 anglais croise dans le secteur, mais sa route ne rencontre pas celle de l’U-203. En revanche, le lendemain 22 juillet, 1 E/P apparaît à l’horizon ! L’Anglais repère le sous-marin, qu’il force à s’immerger...
Wissenberger parvient toutefois à semer l’escorte, en se glissant en avant lente hors d’atteinte de l’E/P...
Fin des contacts...
Tour 3 (23-25 juillet)
Le temps reste stable et beau (4). L’U-203 poursuit sa croisière à pleine allure, traversant 3 nouvelles zones. Il atteint d’ailleurs le Centre Atlantique, dans la zone 1.
Le 25, la route de l’U-203 croise celle d’un petit cargo [2-1] naviguant seul.
Wittenberger saute sur l’occasion qui se présente à lui, et décide d’attaquer le cargo solitaire au canon, après une approche indirecte. Cette attaque permettra aussi de vérifier le bon fonctionnement du 88mm… L’U-203 réussit son approche (1d10 : 3 + 5 de modificateurs = 8...), et peut passer à l’attaque…
Les artilleurs se ruent sur le canon et commencent à cribler d’obus le malheureux navire…
1d10 : 8 + 4 = 12. L’exécution est brève… Une sourde explosion déchire l’air, et le cargo disparaît dans un tourbillon de flammes et de fumée, avant de sombrer sous les yeux fascinés des artilleurs… Le cargo, non armé, n’a même pas la possibilité d’essayer de riposter, ni le temps de signaler la présence du U-boot, qui reste non détecté…
2e victoire ! Le commandant est décidément pleinement satisfait de ses hommes, qui viennent de faire la preuve de leur aptitude au combat, à la torpille comme au canon…
Fin des contacts...
L’U-203, un sous-marin de Type VII, a récemment rejoint la flotte des sous-marins opérationnels, au sein de la 1e Flottille. L’équipage est constitué de jeunes dont ce sera la première mission de combat ; ils ont rallié Brest deux mois plus tôt, après une formation initiale en mer Baltique. Wittenberger lui-même a reçu sa nouvelle affectation il y a dix jours à peine. C’est d’ailleurs son premier commandement, lui qui a été, depuis le début des hostilités le brillant officier en second à bord de l’U-70, à Wilhelmshaven.
Galvanisés par le départ, ses hommes sont pressés d’en découdre et de flanquer une bonne raclée aux Anglais… Ils ont pour modèles ces Prien, Schepke ou, bien sûr, Kretschmer, leurs héros, dont la presse relate régulièrement les exploits... Alors que l’U-203 franchit le goulet de la rade de Brest, Wittenberger se laisse aller à un court instant de méditation : il connaît l’ampleur de la tâche qui les attend, lui et son équipage. Il sait aussi que tous partent, vers la gloire peut-être, mais aussi vers la mort, la leur ou celle de l’adversaire…
Tour 1 (17-19 juillet)
L’U-203 franchit le goulet de la rade de Brest et s’éloigne à pleine vitesse en direction du sud-ouest, afin de passer à l’écart des zones jouxtant la Perfide Albion, infestées d’ennemis potentiels. Il est en effet inutile de prendre le risque d’être attaqué dès la sortie du port ; de plus, c’est la 1e sortie opérationnelle de l’équipage, et il vaut mieux l’aguerrir progressivement dans des zones moins exposées…
L’U-203 s’élance donc à pleine vitesse à travers le Golfe de Gascogne et traverse 3 zones. La météo en ce 1er tour est de niveau 6 (moyen, ni bonus ni malus).
« Flug Alarm !!! » Soudain, en effet, la vigie signale un bombardier anglais [Bomb-0] en approche !
L’U-203 tente de plonger en catastrophe… 1d10 : 1 + 2 de modificateurs = 3.
Le sous-marin toutefois est repéré... Sans hésiter, Wittenberger ordonne : « Plongée coûte que coûte ! ». L’U-203 s’enfonce dans les flots mais tire 5 – 3 = 2 pions de dégâts :
. Ce E ; 1d10 : 8, perte de 2 PA…
. Cp X, le canon de pont est touché…
Malgré tout, l’U-203 est désormais à l’abri, et l’Anglais doit rompre le contact…
Alerte aérienne ! Le bombardier a sans doute pris le temps de communiquer à sa base les coordonnées de l’U-203, puisque moins de deux heures après apparaît un nouvel avion anglais… Il s’agit cette fois d’un appareil de patrouille maritime...
1d10 = 6 + 2 de modificateurs = 8. L’U-203 est à nouveau repéré par les Anglais, mais s’en tire à bon compte car l’Anglais, non armé, ne peut attaquer et se contente donc de diffuser la position du sous-marin…
Fin des contacts...
L’U-203 ayant subi des dégâts, l’équipage doit tester sa combativité : 1d10 = 9, le moral reste au beau fixe !!!
Wittenberger est satisfait, c’est un bon début, ses gars se sont bien comportés et ont un excellent moral ; la traversée du Golfe de Gascogne s’est plutôt bien passée, la mission peut vraiment commencer !!!
Tour 2 (20-22 juillet)
Le temps s’améliore légèrement, passant de 6 à 4 (toujours ni bonus, ni malus), et l’U-203 peut tailler sa route à pleine allure vers le centre Atlantique, traversant 3 nouvelles zones « côtières ». Les choses sérieuses vont pouvoir commencer !!!
Le ciel est vide d’avions ennemis. L’U-203 poursuit sa progression lorsque soudain, un cargo solitaire [2-3] est repéré ; Wittenberger décide de l’attaquer à la torpille, ce qui permettra d’entraîner l’équipage... L’U-203 tente une approche directe de sa cible, afin de profiter au maximum de l’effet de surprise.
1d10 : 7 + 5 de modificateurs = 12. L’U-203 parvient à se placer en position idéale de tir, sans avoir été repéré par le cargo. Il bénéficiera ainsi d’un bonus de +2 au dé d’attaque…
Wittenberger ordonne le lancement de 2 torpilles à impact, à vitesse rapide. Les paramètres de tir sont entrés dans le calculateur, la porte des tubes lance-torpilles ouverte. L’officier armurier signale que les « anguilles » sont prêtes… A bord de l’U-203, l’équipage retient son souffle. Dans l’excitation du combat, les gestes mille fois répétés en mer Baltique, lors des entraînements, prennent ici une saveur particulière, cette fois, on y est !!!
« Tube 1, Feuer ! Tube 2, Feuer ! ». ça y est, l’air comprimé chasse les torpilles de leur tube, elles filent à 40 nds vers leur cible. Encore quelques secondes…
1d10 : 5 + 3 = 8. Les torpilles arrivent pile sur le cargo…
Celui-ci tente en catastrophe de les éviter…
1d10 : 9 – 3 = 6. « Touché ! ». Contre une salve de 2 torpilles à grande vitesse, le cargo n’avait que peu de chance… Sa coque éventrée par une double explosion (1d10 : 9), le navire explose et coule immédiatement… Le drame s’est produit si rapidement que l’équipage du malheureux cargo n’a même pas eu le temps de réaliser ce qui se passait, ni de signaler l’attaque sur les ondes…
1e victoire !!! A bord de l’U-203, un enthousiasme indescriptible, les hommes se congratulent… Wittenberger, savoure intérieurement la liesse de ses hommes. Il se remémore ses propres premières victoires, et retrouve chez ses hommes l’enthousiasme dont il avait alors également fait preuve…
La sécurité du navire prime toutefois pour l’instant, et il faut avant tout veiller à éviter une éventuelle réaction des Anglais. L’U-203 s’éloigne donc rapidement et poursuit sa route. Ce soir, lorsque le sous-marin aura retrouvé la sécurité des profondeurs, l’équipage aura droit, lors du dîner, à une ration de Schnaps pour fêter ça…
Il ne faut en effet pas relâcher sa vigilance, un Dest-1 anglais croise dans le secteur, mais sa route ne rencontre pas celle de l’U-203. En revanche, le lendemain 22 juillet, 1 E/P apparaît à l’horizon ! L’Anglais repère le sous-marin, qu’il force à s’immerger...
Wissenberger parvient toutefois à semer l’escorte, en se glissant en avant lente hors d’atteinte de l’E/P...
Fin des contacts...
Tour 3 (23-25 juillet)
Le temps reste stable et beau (4). L’U-203 poursuit sa croisière à pleine allure, traversant 3 nouvelles zones. Il atteint d’ailleurs le Centre Atlantique, dans la zone 1.
Le 25, la route de l’U-203 croise celle d’un petit cargo [2-1] naviguant seul.
Wittenberger saute sur l’occasion qui se présente à lui, et décide d’attaquer le cargo solitaire au canon, après une approche indirecte. Cette attaque permettra aussi de vérifier le bon fonctionnement du 88mm… L’U-203 réussit son approche (1d10 : 3 + 5 de modificateurs = 8...), et peut passer à l’attaque…
Les artilleurs se ruent sur le canon et commencent à cribler d’obus le malheureux navire…
1d10 : 8 + 4 = 12. L’exécution est brève… Une sourde explosion déchire l’air, et le cargo disparaît dans un tourbillon de flammes et de fumée, avant de sombrer sous les yeux fascinés des artilleurs… Le cargo, non armé, n’a même pas la possibilité d’essayer de riposter, ni le temps de signaler la présence du U-boot, qui reste non détecté…
2e victoire ! Le commandant est décidément pleinement satisfait de ses hommes, qui viennent de faire la preuve de leur aptitude au combat, à la torpille comme au canon…
Fin des contacts...