Eh oui, dommage car le thème est très intéressant.
Soit on a tous les deux loupé quelque chose, soit le principe c'est de faire des grosses piles pour écraser les petites piles de l'adversaire, jusqu'au moment où celui-ci ramène une plus grosse pile, etc...
Et avec un chef balèze (genre Bolivar), c'est encore mieux.
Parmi les éléments qui me semblent mal fichus :
- l'absence de règles de ravitaillement (qui explique le syndrome des grosses piles)
- la table de combats très simpliste (alors, 43 contre 25... bon, ben c'est 1 contre 1 alors)
- et probablement la possibilité de chaque camp de se renforcer à chaque tour grâce aux ressources (et on reconstitue les grosses piles...).
A la fin de notre partie, le Mexique s'était presque entièrement libéré (profitant du fait que les Royalistes ne peuvent activer qu'un nombre limité d'unités par tour au Mexique) mais l'Argentine entièrement matée (l'armée des Andes de San Martin n'a jamais franchi les Andes). Pour le reste, Bolivar et les chefs espagnols faisaient la course entre Maracaïbo, Cuzco et Arequipa...